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JN01098 Les jours d’après

Le lundi d’après.

Je n’en reviens toujours pas que, depuis hier matin, alors que je suis rentré en plein petit déjeuner après avoir découché – sans prévenir, qui plus est – ni maman ni papa ne se soient lancés ni dans des brimades ni dans des questions indiscrètes. Je trouve bizarre qu’ils aient gobé mon récit d’un verre avec les potes du lycée qui se serait fini au petit matin chez Dimitri.

A mon avis, ils doivent croire que j’ai une copine. Si tel est le cas, je vais laisser leur fausse croyance devenir mon alibi. Tout en étant conscient qu’un jour, il faudra bien qu’ils sachent. Mais pas encore, pas aujourd’hui.

En attendant, l’absence presque totale de sommeil la nuit de samedi à dimanche, passée à faire des galipettes avec les deux potes, le sommeil en pointillés de la nuit dernière, ponctué par un rêve de fou où Jérém et Thibault en venaient aux mains, avant de se résoudre à en venir aux queues, tout cela m’a mis KO.

Bref, ce soir le lit m’appelle de bonne heure.

Le mardi d’après.

Le lendemain, l’esprit ne cesse de ressasser les questionnements qui tournent en boucle dans ma tête depuis un peu plus de 48 heures. Pour tenter de mettre de l’ordre dans le bazar qui règne dans ma tête, je décide d’aller me mettre au frais et au calme le long du Canal.

En marchant au bord de l’eau, à l’ombre des platanes, je laisse venir à moi les innombrables questionnement autour de cette folle passée en compagnie de Jérém et de Thibault.

Questionnements vis-à-vis de Jérém.

Est-ce qu’au fond de lui Jérém se doutait de la véritable raison qui l’amenait à débarquer chez lui à cette heure-là ? Est-ce que ma présence avait empêché quelque chose ?

Quant au malaise de Jérém, que recourait-il, au juste ?

Était-il uniquement un malaise vis-à-vis de Thibault à cause de ma présence ? Ou bien un malaise vis-à-vis de moi, à cause de l’arrivée de Thibault ? Chez qui, de moi ou de son pote, avait le plus peur d’éveiller des doutes ?

Et pourquoi, si malaise y avait, Jérém avait laissé rentrer Thibault dans notre intimité ?

Son meilleur pote venait de sonner à son interphone, il ne pouvait pas l’envoyer balader en prétextant « ne monte pas, je suis en train de me faire sucer par Nico ».

Mais pourquoi alors ne pas le laisser partir la première fois qu’il l’avait proposé ? Pourquoi avoir insisté pour qu’il reste, en lui balançant, justement, que j’étais en train de lui sucer la queue juste avant son arrivée ?

Tout cela était-ce uniquement la conséquence de son état de stonitude avancée ?

Ou bien, il était encore assez lucide pour sauter sur une opportunité inespérée ?

Le bomécano est au courant de la véritable nature des relations entre Jérém et moi, de par son intuition d’abord, et de par nos conversations ensuite. Mais Jérém n’est pas censé être au courant du fait que son pote est dans la confidence. A moins que j’aie raté un épisode, à moins que les deux potes aient fini par avoir une explication à ce sujet.

Quoi qu’il en soit, envisager ce plan permettait à Jérém de faire ou de parfaire son « coming out » auprès de son pote, tout en gardant son statut de « vrai mec ». Tout était dans la formule, dans la façon d’exposer les choses, en me présentant comme « le mec qui était en train de lui sucer la queue », même pas comme son amant. La clé de son raisonnement étant de justifier ma présence chez lui à cette heure tardive comme celle d’un simple jouet sexuel pour satisfaire ses envies de fin de soirée. Un jouet sexuel sans importance, car il était prêt à le partager avec son pote. Et si moi, son jouet sexuel n’avait pas d’importance à ses yeux, ce qui se passait entre nous n’en avait pas non plus. Dès lors, ce n’était pour lui qu’un passetemps, un loisir, une lubie, possiblement, probablement, assurément passagère. Un truc d’autant plus sans importance que, vu son état, il pouvait aisément pu être mis sur le dos de la fumette et de l’alcool, éloignant Jérém de tout soupçon d’aimer spécialement les garçons. « Il était juste en train de me sucer la queue ». Une pipe, ça ne se refuse jamais, n’est-ce pas, mon Jérém ?

Est-ce que ce plan, lui était venu sur le moment, où est ce qu’il était d’une certaine façon prémédité ?

Je me souviens d’une fois où Jérém avait évoqué cette possibilité de coucherie avec Thibault. C’était pendant une galipette. Je me souviens qu’il m’avait demandé sur un ton accusatoire et méprisant si Thibault me plaisait, lui aussi, et si j’avais envie de baiser avec lui aussi. 

Sur le moment, j’avais mis ça sur le dos de son excitation, je m’étais dit que ce n’étaient que des mots en l’air, le genre de mots qui traduisent des fantasmes qui font surface et semblent si réalisables à l’instant où le plaisir nous fait perdre pied, des fantasmes qui disparaissent dès l’excitation retombée.

Peut-être qu’au contraire l’idée de ce plan à trois trottait dans sa petite tête depuis un moment.

Mais qu’en est-il de cette tentative de manipulation de son pote pour le tromper vis-à-vis de la véritable nature de notre relation et de ses préférences sexuelles ? Est-ce que ça lui était venu sur le moment, où est-ce que c’était là aussi prémédité ?

Est-ce que Jérém avait d’autres raisons pour envisager ce plan ? Comme des raisons impliquant une attirance refoulée vis-à vis de son Thib ?

Questionnements vis-à-vis de Thibault.

A commencer par le plus évident. Pour quelle raison le bomécano était-il venu voir son pote Jé à cette heure tardive ?

Son prétexte de l’insomnie qui l’aurait poussé à aller faire un tour jusqu’à la rue de la Colombette ne m’a pas totalement convaincu. Il devait forcément y avoir une autre raison derrière sa visite chez son pote au beau milieu de la nuit.

Avait-il quelque chose d’urgent à lui dire ? Quelque chose de trop important pour attendre un autre moment ou pour se contenter d’un coup de téléphone, d’un SMS ?

Il est vrai aussi qu’avec les horaires décalés du job de serveur de Jérém, il était difficile pour le bomécano de voir son pote en semaine. Alors, ne travaillant pas lui-même le lendemain, ce samedi soir il avait pu attendre que Jérém débauche pour aller le voir. Mais, une fois de plus, qu’avait-il à lui dire pour avoir besoin de le voir entre quatre yeux à cette heure improbable ?

Manque de bol, Jérém n’était pas seul. Et ce dernier avait l’air aussi surpris et mal à l’aise que moi vis-à-vis de l’arrivée impromptue de son pote.

Pourquoi, après que Jérém ait lancé l’idée de ce plan, et alors que dans un premier temps il avait sérieusement envisagé de partir, était-il finalement resté ? S’était-il simplement laissé entraîner par son pote ? S’était-il laissé tenter par ses mots qui lui annonçaient tout le bien que j’allais lui faire ?

Comment le beau pompier était-il arrivé à surmonter tant de barrières – l’amitié profonde avec Jérém, l’amitié naissante avec moi, le fait de savoir que je ressens des sentiments forts pour son pote – pour se laisser aller ?

Ses hésitations, à plusieurs reprises, avaient très bien traduit son tiraillement entre ses désirs et ses alarmes intérieurs qui le sommaient de ne pas céder aux invitations de son pote.

Questionnements au sujet de moi-même.

J’ai beau me dire que ce plan m’est tombé dessus sans que je n’aie rien demandé. Lorsque ça s’est présenté, je n’ai pas dit non.

J’ai beau me dire que je n’avais pas le choix, qu’une fois ce plan lancé par Jérém, j’étais incapable de partir et de laisser très vraisemblablement les deux potes se faire du bien sans moi.

La vérité est que l’envie de découvrir le corps du bomécano, sa sexualité, son plaisir, était bel et bien là, en moi. Tout comme l’envie de savoir si la jalousie de mon bobrun se pointerait comme ça avait déjà été le cas avec Romain.

Et sa jalousie s’est bel et bien pointée, précise, ponctuelle, dès que j’ai commencé à m’occuper de Thibault. Elle a vraiment explosé lorsque son pote a commencé à s’occuper de moi, avec fougue et tendresse, faisant foirer ses plans. Une jalousie peut-être différente, mais encore plus évidente, encore plus ravageuse que celle provoquée in lui par l’inconnu Romain, une jalousie provoquée justement par l’attitude de son pote Thib à mon égard.

Mais est-ce que j’ai été trop loin ? Est-ce que, au fond, je ne vaux pas mieux que de l’opinion que Jérém a de moi ?

J’ai beau me dire, pour me rassurer, que cette folie sensuelle à laquelle je me suis peut-être trop facilement abandonnée, était due en très grande partie à l’effet du tarpé.

La vérité est que je me suis laissé emporter par mes propres désirs.

Par moments, je me dis que cette nuit était probablement une erreur. Une erreur que je regrette. Pour les conséquences qu’elle peut entraîner dans nos relations. D’ailleurs, le silence radio des deux potes depuis dimanche matin ne me dit rien qui vaille.

Et puis, il est d’autres moments où je me dis que si cette nuit était une erreur, quelle belle et bonne erreur !

Car, si je m’étais interdit cette « erreur », je n’aurais pas connu le bonheur que Thibault avait à m’offrir.

Initier le bomécano au plaisir entre garçons a été une expérience délicieuse. Le voir dépasser ses réticences, ses peurs, ses barrières mentales à fur et à mesure que je m’occupais de lui, le voir chercher ses marques, les trouver, se décontracter petit à petit, voir que le plaisir que je lui offrais balayait rapidement ses réticences, le rendant de plus en plus entreprenant. Tout cela a été une expérience fabuleuse. Si différente, mais tout autant grisante, que celle de me laisser faire par Jérém le jour de notre première révision.

Le mercredi d’après.

Je n’ai rien foutu de ma journée. Je ne suis pas sorti de la maison, de ma chambre. Je lis, tout en ressassant tout ça en boucle.

Le jeudi d’après.

Jeudi, je ressens à nouveau l’envie d’aller me balader sur le Canal.

Aujourd’hui, une toute autre question s’impose à moi pendant que je marche à l’ombre des platanes.

Comment j’en suis arrivé avec mon Jérém à une telle situation de dominant/soumis, limite de méprisant/méprisé, tout en étant amoureux fou de lui ?

Et je ne parle pas de notre vie sexuelle, où j’assume parfaitement son côté macho dominant, je parle de notre relation dans sa globalité.

Plus tard dans cette histoire, lorsque je repenserai à mon abnégation de l’époque, à mon aveuglement, à ma faiblesse face au désir insensé que ce petit con de Jérém m’inspirait, lorsque je me souviens à tout ce que j’étais disposé à faire, essayer, attendre, souffrir pour garder ce mec, je me demanderai comment j’ai pu en endurer autant.

Encore aujourd’hui, tant d’années plus tard, je me dis que si j’avais la possibilité de monter dans une Delorean volante et de rattraper le Nico de mes 18 ans, je lui mettrais des baffes, et je lui crierais à tue-tête, Bon sang, réveille-toi ! Ne te laisse pas faire, dis-lui tes quatre vérités ! Il a besoin de ça, d’être remis à sa place ! A force de ne pas oser, tu rends service à personne, ni à toi, ni à lui, ni à votre relation.

Mais lorsque tout cela se passait, j’étais jeune, et j’étais amoureux. Je n’étais pas préparé à ce qu’un gars comme Jérém fasse de moi son jouet sexuel. Je n’avais aucune expérience, j’étais fou de lui, et il le savait. Jérém a fait irruption dans ma vie une première fois le premier jour du lycée, et une deuxième le premier jour de nos révisions. Mon bonheur était si grand que je l’ai laissé faire tout ce dont il avait envie. J’ai essayé de gérer tout ça avec les moyens que j’avais à l’époque.

Nico et Jérém.

Quatre jours après cette nuit de folie je n’ai toujours aucune nouvelle de la part de Jérém. Je n’en ai pas pris non plus. Je n’ose pas. Je ne sais pas si ça lui ferait plaisir que je le contacte. Depuis le début de nos révisions, je me suis souvent demandé pas si ça lui arrivait seulement de penser à moi en dehors des moments où nous sommes emboîtés. J’ai trop peur de le déranger, et de me faire jeter.

Mais plus les jours passent, plus le sentiment de manque et de tristesse se fait sentir. Et ce n’est pas seulement un manque de sexe. J’ai terriblement envie de le revoir, d’être avec lui.

Oui, Jérém me manque à en crever. Il me manque au-delà de la folie sensuelle de l’autre nuit, il me manque plus que tout, plus que personne. Et ce t-shirt que je serre chaque soir contre moi, avec le souvenir olfactif qui se dégage toujours de ses fibres, ne suffit pas pour combler ce manque, bien au contraire, il ne fait que rendre cette absence encore plus insupportable.

Comment le retrouver après cette nuit ? Quelle attitude pourrait-il désormais avoir à mon égard ?

Comment va-t-il depuis cette nuit ? Qu’a-t-il ressenti lorsqu’il s’est rendu compte que cette nuit qu’il avait envisagée comme un plan cul s’est transformée en tout autre chose, du moins pour Thibault et moi ?

Je peux toujours rêver qu’il puisse prendre conscience tout seul de cette évidence, que Thibault m’a apporté exactement ce que je voudrais qu’il m’apporte, lui. Oui, je peux toujours rêver que Jérém puisse s’inspirer de la voie esquissée par son pote pour la suite de notre relation.

En réalité, je crains, au contraire, que dans l’avenir proche il soit encore plus dur avec moi, comme pour me punir d’avoir obtenu de Thibault, son meilleur pote, ce que lui-même est incapable de m’apporter.

Mais ce que je crains le plus, c’est qu’il ne veuille pas me revoir tout court.

J’ai pensé à lui envoyer un SMS, j’y ai renoncé. Je sais qu’il ne répondrait pas. L’appeler, quand ? Comment être sûr de ne pas le déranger vis-à vis de ses horaires de travail décalés et variables à la brasserie ? De toute façon, il serait capable de filtrer. Essayer de le contacter c’est prendre le risque de le cabrer encore plus. Et, puis, surtout, essayer de le contacter, pour quoi lui dire ?

Malgré tout, j’ai pensé aller prendre un verre à la brasserie, ou même juste de passer devant la terrasse, même de l’autre côté de la rue. Juste pour le revoir ne serait-ce qu’un instant.

J’en crève d’envie, mais je m’interdis de le faire, j’ai trop peur de son regard hostile, peur de le saouler, de me faire jeter.

Il ne me reste alors qu’à attendre qu’il revienne vers moi. Mais je sais que c’est un pari très risqué.

L’attente est une lame à double tranchant. Le temps peut lui permettre de se calmer, de relativiser ce qui s’est passé. Mais il peut aussi laisser le malaise et la distance s’installer. Il peut aussi penser que j’ai « lâché l’affaire » et le décourager de revenir vers moi, si tant est qu’il l’envisage à un moment ou à un autre.

Nico et Thibault.

Quatre jours après cette nuit de folie je n’ai pas non plus la moindre nouvelle de la part de Thibault.

Quel regard porte-t-il sur moi après cette nuit vis-à-vis du fait que je n’ai pas cillé quand Jérém m’a demandé de lui faire plaisir à lui aussi ? A quel point a-t-il été déçu par mon attitude vis-à-vis de son pote, par mon incapacité à me faire respecter ?

Comment retrouver désormais après m’être donné à lui sans limites, lui avouant ainsi mon attirance à son égard ? Comment reprendre le fil de notre amitié naissante après y avoir laissé rentrer cette sublime note sensuelle ? Mais nous avons été encore plus loin. En ajoutant de la tendresse au plaisir, ne nous sommes-nous pas engouffrés dans une voie sans issue ?

Qu’a-t-il découvert au cours de cette nuit au sujet du plaisir entre garçons ? Qu’a-t-il découvert de lui-même, se ses désirs, de ses attirances ? Quel effet ont eu sur lui toutes ces découvertes ? Comment va-t-il depuis dimanche matin ?

Aussi, en repensant une fois de plus à la douceur de Thibault, je ne peux m’empêcher de me demander pourquoi il a été aussi attentif et doux avec moi. S’il ressent quelque chose pour moi.

Je me demande ce que je ressens à mon tour pour ce mec formidable. Car il est impossible de ne pas être touché par un garçon si fort et si doux à la fois, par un esprit si droit et généreux. Je crois que Thibault est typiquement le genre de garçon dont j’aurais pu facilement tomber amoureux, si je ne l’étais pas déjà, à cœur perdu, de son meilleur pote.

Jérém et Thibault.

Non, je n’ai aucune nouvelle de personne, ni de Jérém, ni de Thibault. Mais est-ce qu’il se sont vus, seul à seul, depuis dimanche matin ?

Est-ce qu’ils ont parlé de ce qui s’est passé le weekend dernier, et de comment cela s’est passé ? Est-ce qu’ils ont parlé de moi ? En quel termes ? Est-ce que Jérém a encore essayé de convaincre son pote que je ne suis qu’un cul à baiser ? Est-ce que Thibault va, au contraire, a essayé de le raisonner et de lui faire comprendre qu’il se comporte parfois injustement avec moi ?

Est-ce qu’ils ont parlé de leur attirance réciproque qui s’est manifestée à plusieurs reprises pendant cette nuit ?

Quels sont donc ces désirs ? Depuis quand sont-ils là, tapis dans leurs esprits ?

A en croire à mon ressenti, Thibault n’a jamais pris un plaisir aussi intense avec un garçon. S’il s’est déjà passé quelque chose entre lui et Jérém, ce n’est probablement que quelque chose de très soft. Mais maintenant que Thibault a connu une grande partie du plaisir entre garçons, et si vraiment l’attirance pour son Jé est là, et si vraiment elle est réciproque, qu’est-ce qu’il les empêcherait de remettre ça, sans moi ?

Certes, l’autre nuit ils ont joué tous deux le rôle de mec actif. Mais si l’attirance est là, ils trouveront toujours le moyen de se faire plaisir.

Peut-être qu’au final, ils n’ont eu besoin de moi que pour bien se faire chauffer, pour ensuite commencer à explorer cette attirance. Et une fois dévoilé les désirs de l’autre, ce sera sans doute plus simple de remettre ça. L’idée de les imaginer en train de se faire du bien m’excite autant qu’elle m’est insupportable.

Malgré mon malaise et mes inquiétudes, je ne peux rester plus longtemps dans cette attente, assailli par tous ces questionnements. C’est au-dessus de mes forces. Il faut que j’essaie de renouer le contact avec Jérém et Thibault. Et je crois savoir avec lequel des deux il me sera le plus facile d’y parvenir dans l’immédiat.

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Deux films sont à retenir dans la sélection 2025.

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Merci à vous tous pour votre fidélité et vos commentaires.

L’histoire de Jérém&Nico rentre dans sa phase finale.

Jérém&Nico est une belle aventure qui aura duré près de 10 ans et qui n’aurait pas été possible sans vous tous.

Et pour cela, un grand

Fabien

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