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JN01094 Une nuit et ses imprévus

« 10 minutes, j’arrive ».

Comme un petit chien, je rapplique lorsque mon maître me siffle. Je saute du lit, je me rhabille au pas de course.

Une semaine sans de ses nouvelles et il m’appelle car il a envie de baiser au beau milieu de la nuit. C’est humiliant, mais il faut avouer que c’est néanmoins très excitant.

Je ne me pose même plus la question de comment me comporter avec lui, une semaine sans le voir et je suis en manque.

Une minute plus tard je suis dans la rue. Je n’ai pas laissé de message pour maman mais je me dis que je lui enverrai un SMS pour lui dire quand je vais rentrer, chose que j’ignore à cet instant.

Je viens de fermer la porte d’entrée de la maison et je me rends compte que, dans ma précipitation, j’ai oublié le maillot rapporté de Londres. Je me dis que ça ferait peut-être son effet, ça lui montrerait à quel point je tiens à lui. Et le fait de lui donner lors de ces retrouvailles lui montrerait à quel point je suis heureux que ces retrouvailles aient lieu.

Mais je ne me sens pas le courage de rentrer à nouveau, d’affronter tous les bruits de la maison, de la porte d’entrée jusqu’à ma chambre, puis en sens inverse, de courir le risque de réveiller mes parents, de devoir donner des fausses explications pour une sortie nocturne qui aurait l’air suspecte, le risque de susciter des inquiétudes

De toute façon, je suis quand même un peu pressé, j’ai annoncé10 minutes, et 10 minutes ça passe vite. Il y aura probablement d’autres occasions pour le lui donner. Et s’il n’y en a pas, c’est que ce cadeau n’était pas une bonne idée. Au pire, je le déposerai devant sa porte.

Je presse mon pas direction le pont St Michel. La ville est silencieuse, inanimée. J’ai toujours aimé la ville à cette heure-ci, ses ponts, ses allées, ses places désertes. A cette heure-ci, il n’y a presque pas de voiture, les feux de circulation changent de couleur dans le vide, ou bien ils clignotent à l’orange. L’éclairage public met en valeur les grands bâtiments à l’allure paisible, la Garonne reflète les lumières d’une ville endormie, une ville sur laquelle le temps semble comme suspendu, dans l’attente d’un nouveau jour.

Tout s’efface autour de moi/Lorsque la ville s’endort
Je ne vis plus que pour toi/Lorsque la ville s’endort


J’avance à grand pas, la démarche pressée et impatiente d’un garçon qui va rejoindre le garçon qu’il aime. Le vent d’Autan souffle fort, il souffle dans mon dos, caresse ma peau, s’infiltre sous mon t-shirt, m’apportant le souvenir toujours aussi vif du premier jour des révisions avec Jérém.

Le ciel est dégagé, la lune apparaît de trois quarts. Peut-être que le cœur de Jérém s’est dégagé aussi depuis dimanche dernier, peut-être qu’il s’est calmé, qu’il va avoir envie d’une bonne baise, d’une bonne tranche de plaisir que je lui offrirai avec bonheur. Peut-être qu’il me demandera de rester dormir, et qu’il aura envie d’un câlin. Peut-être que tout n’est pas perdu, peut-être que notre complicité se construit aussi au travers de ces petites ruptures.

Ton amour n’est pas ce que tu crois/C’est un décor
Mais un jour viendra/Où tu sauras m’aimer plus fort

Je suis impatient de retrouver le mec qui fait battre la chamade à mon petit cœur et qui embrase mon désir. Je fends la nuit fraîche de ce mois de juillet, gai et excité comme un pinson. Je suis tellement sur mon petit nuage que j’arrive devant la porte de l’immeuble du bobrun sans presque m’en rendre compte.

Mon cœur bat à tout rompre. J’ai besoin de quelques secondes pour reprendre mon souffle, car j’ai carrément fait le trajet au pas de course. J’essaie de trouver une attitude convenable, pour ne pas trop montrer la fébrilité de mon désir. Je dois me ressaisir.

Mais au fond, à quoi bon essayer de lui montrer autre chose que la vérité ?

De toute manière, il sait que je suis raide dingue de lui et que je ne peux pas lui résister, il sait que je viendrai à chaque fois qu’il claquera des doigts. Car son envie est mon envie, je bande rien qu’à l’idée de le voir nu, de le sucer. Je ne peux pas résister à Jérém. Dès l’instant où j’ai goûté à sa virilité, j’en ai été accroc. Non, je ne peux résister, c’est trop tard.

Dès que mon doigt se pose sur la sonnette, la porte se déverrouille. Lorsque j’arrive devant la porte de son appart, je la trouve entrebâillée. Je pousse le battant et je me retrouve dans cet espace que je connais désormais par cœur. J’y suis un peu comme chez moi.

La pénombre règne dans la pièce, seule la faible lampe sur sa table de nuit est allumée. Jérém est assis sur le canapé, une bouteille de bière à la main et une cigarette-faite-maison, à la fumée et à l’odeur bien caractéristiques, dans l’autre.

Je referme lentement la porte derrière moi, en essayant de faire le moins de bruit possible.

Le bogoss porte un simple débardeur blanc à cotes fines qui met diaboliquement en valeur ses pectoraux, ses épaules, le V de son torse, sa chaînette négligemment abandonnée dans l’arrondi, sur sa peau mate.

Son bassin est moulé dans un boxer vert à l’élastique blanc, du meilleur effet. Le relief de sa bosse se dessine sous le tissu élastique, et cette vision me met d’entrée en situation, en situation d’avoir grave envie de lui.

— Salut je lui lance.

Pour toute réponse, le bogoss expire un bon nuage de fumée.

Il est à craquer. Une légère brise s’infiltre par la porte fenêtre entrouverte, caressant mon visage et mon cou et éveillant encore un peu plus mes sens déjà en ébullition.

Je me tiens là devant lui, en attendant de savoir de quoi il a envie. J’attends et je le mate, sans oser chercher son regard. Je sens sur moi son regard qui me déshabille, qui me met mal à l’aise autant qu’il m’excite, ce regard qui me fait sentir à sa complète merci, un regard lubrique, perçant, désinhibé. Je devine que Jérém a déjà pas mal fumé, je le devine à son silence, à son immobilité. Je devine qu’il est stone. Et ça, en général, ça annonce des ébats bien chauds.

Jérém ne bouge pas de son canapé, il ne bouge pas le petit doigt, exception faite pour sa main portant régulièrement la cigarette à ses lèvres et pour son torse, expirant tout aussi régulièrement de bonnes volutes de fumée.

L’attente se prolonge, transformant peu à peu mon excitation en un état de malaise qui gagne rapidement mon esprit. Depuis de longues secondes je suis planté là, à sa complète merci. Chaque seconde qui passe, je lui montre un peu plus ma vénération, mon désir, mon envie de lui.

A chaque seconde qui passe, je me sens un peu plus ridicule, pathétique, humilié.

Et pourtant, j’ai de plus en plus envie de le toucher, de le sucer Mais aussi de sortir de cette étrange situation.

Je fais un pas vers lui. Et là, je vois le bogoss lever un doigt dans le prolongement de sa bouteille de bière et y associer un regard très déterminé, le tout étant une sommation de m’arrêter.

Mais à quoi joue-t-il ce sale petit con ?

En attendant, je stoppe net mon élan. Un petit sourire coquin se dessine désormais au bord de ses lèvres, me faisant sentir encore plus con qu’avant.

Un sourire des plus sexy et coquins illumine alors son visage. Putain de petit con, décidemment il n’est pas aussi stone que je l’imaginais. En tous cas, il est assez maître de lui-même pour prendre du plaisir à me pousser à lui montrer clairement le désir fou qui m’amené à lui, à cultiver ce désir avec cette façon de me tenir à distance, de me dominer par la frustration.

Le petit con est en train de me chauffer à bloc. Car il semble avoir bien intégré que plus il me fait attendre, plus il m’en fait baver, plus le sexe avec lui me paraîtra un cadeau précieux. Plus il m’aura humilié, plus j’aurai envie de tout lui donner. Plus il m’aura chauffé, plus il ressentira en lui ce pouvoir magique, le pouvoir d’être désiré par-dessus tout, le pouvoir de me donner du plaisir ou de m’en priver, et d’alimenter ainsi un désir de plus en plus grand.

— T’as envie, hein, dis-le que t’es venu parce que t’as envie de me sucer !

Il veut sentir que je suis fou de sa queue, alors je vais lui donner ce dont il a besoin.

— J’ai envie de te sucer, Jérém, je capitule sans résistance. S’il te plaît, laisse-moi te sucer !

— T’en crèves d’envie, hein ? il lâche avec cette arrogance de petit con à gifler qui le rend si sexy à mes yeux.

Petit con, va ! Mais petit con sexy à qui je donnerais la bonne pipe sans hésitation. Mais pas avant de t’avoir un peu chauffé à mon tour.

— Et toi tu crèves d’envie de te faire sucer. Je te rappelle que c’est toi qui m’as fait venir !

Le petit con affiche désormais un sourire narquois.

— Ouais, tu vas sucer, et tu vas en avoir pour ton grade, il lâche sur un ton de plus en plus arrogant. Mais d’abord, goûte ça…

Et là, ajoutant le geste à la parole, le petit con tend le bras dans ma direction. Au bout de ses doigts, son joint à moitié consumé laisse échapper un filet de fumée fin et intense.

Je n’ai jamais tiré la moindre taffe ne serait-ce que d’une cigarette. Alors, me voilà face à un joli dilemme.

D’un côté, ça ne me dit trop rien d’essayer, je suis un garçon certainement bien trop sage, un garçon qui aime garder le contrôle de soi-même, un garçon qui n’a jamais rêvé de paradis artificiels. De plus, j’ai peur de ne pas aimer, d’avaler la fumée de travers, de tousser, bref, de me ridiculiser devant mon bobrun.

D’un autre côté, si je refuse, je risque de faire mauvaise impression vis-à-vis de mon bobrun.

Mais comme dans la vie il semblerait qu’il vaut mieux vaut avoir des regrets que des remords, j’avance vers le bogoss et j’attrape le joint, geste qui amène mes doigts à effleurer les siens au passage. Rien que ce petit contact suffit à me donner des frissons indicibles, c’est comme si ce mec dégageait une énergie sensuelle capable de provoquer instantanément des étincelles sur ma peau et dans mon corps tout entier.

Je porte le petit bout entre mes lèvres et j’aspire. C’est chaud, amer, ça pique au fond de la gorge, je ne trouve pas ça agréable du tout. C’est déjà un exploit de ne pas tousser.

— Ne garde pas trop la fumée, vas-y, expire, fait le bobrun, l’air amusé par le spectacle de débutant que je suis en train de lui offrir.

J’expire lentement la fumée chaude.

— Tu peux tirer une autre taffe, je l’entends me lancer, alors que je lui tends le chichon en retour.

— Plus tard, je lui réponds, tout en allant au bout de mon geste, en lui rendant le joint et en effleurant une nouvelle fois ses doigts, et ce coup-ci, je ressens des frissons encore plus électriques que les premiers.

Des frissons qui me retournent comme une chaussette, qui me poussent à lâcher des mots dont je suis le premier surpris.

— Quitte à tenir un truc entre les lèvres, je préfère que ce soit ta queue…

Le bogoss, en train de tirer sur le petit bout fumant, semble avoir du mal à contenir un joli sourire amusé. J’adore ces instants heureux, les rares fois où j’arrive à le décrisper, à provoquer ce sourire à la fois coquin et un peu enfantin sur son visage. L’entendre rire, c’est pour moi la plus douce des mélodies, plus encore que de l’entendre souffler de plaisir, plus encore qu’entendre les râles étouffés de ses orgasmes.

Un instant plus tard, je suis à genoux, entre ses jambes, je laisse trainer mon nez et mes lèvres sur la bosse de son boxer, j’inspire, j’aspire, j’hume, je me délecte, insatiable, enivré, ses petites odeurs de mec me faisant bien plus d’effet que le joint.

Je glisse doucement les doigts à l’intérieur de l’élastique de boxer, pile en correspondance de son pli de l’aine, je le fais glisser lentement sur ses hanches, mais il reste coincé autour de son engin raide et chaud.

Mes doigts écartent l’élastique, effleurent sa queue, tentent de la dégager. De nouvelles aromes se libèrent au fil de l’opération, je sens une bouffée de chaleur monter à mon visage. Définitivement, mon joint à moi, c’est sa queue.

Je suis tellement heureux de le reprendre enfin en bouche, de l’entendre ahaner sous l’effet du plaisir que je lui offre généreusement.

C’est là, qu’un élément perturbateur vient troubler la perfection de l’instant. Il s’agit du bruit assourdissant de la sonnette de l’interphone. Elle retentit dans la pénombre de l’appart, dans le silence de la nuit toulousaine.

Instantanément, le bogoss porte ses mains sur mes épaules, me repousse brusquement. Il se lève du canapé, se précipite vers l’interphone, me bousculant au passage. Il décroche le combiné, la queue en l’air, humide, gonflée à bloc, à deux doigts de jouir. Son geste est tellement précipité que le combiné lui glisse deux fois des mains.

Il la rattrape de justesse, à hauteur de ses mollets, il le porte à son oreille.

— Ouais, je l’entends lâcher. Je capte une voix à l’autre bout du fil, une voix dont je ne perçois qu’un faible grésillement.

Dans la pénombre je vois l’inquiétude se dessiner sur son visage.

— Euh, ouais, je l’entends proférer une seconde plus tard, alors que son regard vient clairement balayer dans ma direction.

Instinctivement, je me relève, je m’assois sur le canapé, tout en me posant en me demandant ce qui est en train de se passer.

Sur ce, j’entends le bogoss lâcher :

— Ok, bah, alors monte…

Hein ?!?!?! Qui ? Quoi ? Qui est-ce qui va monter ? Pourquoi ? Pour quoi faire ????

Je vois le bobrun raccrocher le combiné aussi précipitamment qu’il l’avait décroché, je le vois se ruer vers le canapé, attraper son boxer, le passer à la vitesse de l’éclair.

  • Rhabille-toi, vite ! il me lance sèchement.

J’ai beau essayer de lui demander ce qui se passe, je n’ai pas de réponse. Il disparaît dans la salle de bain. Il réapparait un instant plus tard, avec un short rouge qui, combiné avec son débardeur blanc, le rend sexy en diable.

Ça toque désormais à la porte. Jérém traverse le séjour en trois enjambées, il pose sa main sur la poignée, le battant s’ouvre.

T-shirt marron plutôt ajusté à son torse bien charpenté, des biceps rebondis, un cou puissant, un short noir finissant sur deux mollets puissants et recouverts d’une bonne pilosité, des mollets de rugbyman.

Thibault est là.

Commentaires.

Etienne

15/11/2016 23:23

Du chamboulement en perspective… Comment Jérem va t’il survivre à ça: pétage de plomb à venir ? J’espère que Nico trouvera son réconfort auprès de Thibault… Vite la suite ! Bises. Etienne

RomainT

18/11/2016 23:22

Tu es un véritable tortionnaire Fabien! Je rattrape enfin mon retard dans tes textes et tu me laisse comme ça! Avec une liste de questions et d’interrogations longue comme un paris toulouse! Tu es vraiment insupportable! Bon sinon c’est génial mais ça deviens lassant de te le répéter surtout lorsque tu es si méchant… Bref LA SUITE!!! Romain

Gianluca76

1/11/2016 17:53

Tout à fait d’accord avec Yann… la relation Jerem -Nico cela a toujour été dominant – soumis… Jerem ne pense qu’ à son plaisir… tandis que Thibault a envie de partager ce moment de aisir avec Nico et le lui rend bien… caresses tendresses et remet Jerem sur le droit chemin quand celui ci dérape… peut être que Jerem se rend compte qu il risque de perdre Nico… Thibault-Nico…ce serait top…pour mémoire Romain avait prevenu Jéjé… a firce de ne penser qu à sa gueule.. il risquait de perdre Nico… et si thibault et celui qui le priverait de son Nico ?? J attends de voir la suite… ca risque de chauffer entre les deux rugbymen… qui aura le dernier mot ??? La suite stp…

Yann

14/11/2016 11:07

 L’intensité érotique, sexuelle, mais aussi sentimentale de cet épisode est palpable. Fabien, comme tu sais si bien le faire par ton écriture toujours aussi riche, tu nous en fais partager toutes les nuances. Le contraste des personnalités entre Jerem et Thibault est criant au regard de leur façon de traiter Nico. Depuis que Jerem et Nico se connaissent il n’y a quasiment jamais eu de moment de tendresse et Nico en souffre. Jerem le considère comme sa chose exclusive qui lui appartient et dont il profite comme bon lui semble. Mais Jerem vient peut être de faire là une erreur. Son attitude montre qu’il regrette déjà ce plan à trois. Thibault s’est toujours montré troublé quand il voyait Jerem partir avec Nico. Il n’était bien sûr pas dupe de leur relation. Nico pensait jusque là que cette gène était vis-à-vis de son pote Jerem. Mais si Thibault était amoureux de Nico ? En tout cas il n’est pas insensible au plaisir que lui donne Nico et contrairement à Jerem il le lui rend. L’empressement qu’il montre à le dénuder est révélateur d’un désir longtemps retenu et qui explose. Jerem réalise que Thibault donne à Nico la tendresse qu’il n’a jamais pu ou voulu lui donner et la jalousie commence à poindre. Oui comme le ressent Nico Thibault a des envies mais qui ne sont pas celles de Jerem. Est-ce là que les chemins de Jerem et Nico vont se séparer ? On sait que cela va arriver. Et si Nico entamaient ensemble une autre histoire différente plus sensuelle et affective ? Fabien vite la suite.

Virginie-aux-accents

18/11/2016 07:29

Thibault est vraiment merveilleux. Merci.

Depuis 2010, la Queer Palm est un prix alternatif qui, au cours du Festival de Cannes, récompense un film aux thématiques LGBTQIA+.
Deux films sont à retenir dans la sélection 2025.

En 2024, le jury, avait remis son prix au film roumain Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde, d’Emanuel Pârvu.

Retrouve dans la galerie médias des coups de cœur pour des photos, des films et séries, des livres et bientôt de la musique.

Un film poignant. Avec un jeune acteur à la beauté bouleversante. Film complet sur Dailymotion en cliquant sur la photo.

Une histoire d’amitié authentique et poignante.

Deux acteurs incandescents.

La découverte de l’amour, du premier amour, le plus fort de tous.

Un autre film qui m’a beaucoup ému

Tu peux aider Fabien à écrire ses histoires !

Deux méthodes possibles :

OU

Merci FanB pour tes corrections et ton aide précieuse.

Merci Yann pour les graphismes du site et ton soutien.

Merci aux mécènes de tout temps, et en particulier à Cyril et Virginie, dont le soutien perdure depuis 2016.

Merci à vous tous pour votre fidélité et vos commentaires.

L’histoire de Jérém&Nico rentre dans sa phase finale.

Jérém&Nico est une belle aventure qui aura duré près de 10 ans et qui n’aurait pas été possible sans vous tous.

Et pour cela, un grand

Fabien

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