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JN01079 Bonheur matinal

Lorsque j’émerge à nouveau, il est déjà 9h35. Quelques rayons de soleil arrivent à se faufiler à travers le store baissé de la porte fenêtre. Je me sens très fatigué, mais je suis infiniment heureux, car je réalise très vite que je ne suis pas dans mon lit, mais dans celui du garçon que j’aime.

Je peux entendre sa respiration, calme, apaisée, régulière. Je peux sentir son parfum, la douceur de ses draps sur ma peau.

Non, ce n’était pas un rêve. Nos accolades se sont déliées pendant le sommeil, nous sommes chacun à un bout du lit, chacun tourné à l’opposé de l’autre. Et pourtant, nos corps ont conservé un contact. Nos mollets demeurent entrelacés, mélangés, douce notification tactile de sa présence, rassurante sensation de proximité, de complicité et de partage.

Je tourne la tête et je découvre mon Jérém en train de dormir. C’est beau de me réveiller à ses côtés. Je suis incrédule et heureux.

Les images de la soirée et de la nuit remontent peu à peu à ma conscience. Depuis la bise que Jérém m’a claquée devant le resto, en passant par la galipette dans les chiottes de la Bodega, par le sketch de Jérém me voyant repartir avec Martin, par notre virée au On Off, par ce plan avec le beau barbu Romain, jusqu’à cette nuit passée l’un dans les bras de l’autre, tout me revient peu à peu. J’ai l’impression que tous ces évènements ont suivi un enchaînement magique.

Lorsque je repense aux évènements qui m’ont conduit à ce réveil dans le lit de mon beau brun, je réalise à quel point cela a été le fruit d’un sacré concours de circonstances.

Sans le fait que Thibault m’encourage à faire un tour au KL, je serais rentré chez moi après la virée à la Bodega. Sans l’apparition de cette nana au KL, sans ma méprise vis-à-vis des intentions de Jérém lorsqu’il s’était éclipsé avec elle, je n’aurais jamais envisagé de repartir de la boîte avec Martin.

Si Jérém ne m’avait pas vu en train de quitter la boîte avec Martin, il ne m’aurait pas fait son sketch de mec jaloux.

Sans ce sketch, et sans le besoin pressant de Thierry de rentrer en ville avec la nana qu’il avait levée en boîte, Jérém et moi ne serions probablement pas rentrés ensemble. Il y avait trop de monde, et notamment toute notre classe de lycée. Jérém n’aurait pas osé.

Et même si ça avait été le cas, même si nous étions rentrés ensemble, sans l’« accident Martin », Jérém n’aurait pas été en pétard.

Et en admettant, comme je le pense, que c’est précisément cette contrariété qui l’a poussé à me traîner au On Off, il va de soi que nous n’aurions pas croisé le chemin du beau barbu Romain.

Nous n’aurions pas fait ce plan dans l’appart de la rue de la Colombette. Jérém n’aurait pas été contrarié par le fait que je couche avec Romain. Jérém n’aurait pas été contrarié par l’attitude et les provocations de Romain, par ses réflexions vis-à-vis de son côté macho et de sa façon de se conduire avec moi.

Sans l’accident Martin, sans le plan avec Romain – sans sa jalousie et sans ces blessures à son égo – mon Jérém ne se serait probablement pas senti dérouté au point de me demander de rester dormir avec lui.

Oui, pour improbable que cela puisse paraître, la rencontre avec Romain n’a pas été qu’un pur plan de baise. Elle a également été une occasion inespérée de mettre Jérém face à ses contradictions d’une façon si prégnante que jamais je n’aurais été capable de l’imaginer.

Tout comme ça a été l’occasion de me mettre, moi, face aux sentiments que je ressens pour Jérém, des sentiments qui ont éclipsé jusqu’au plaisir de coucher avec un gars comme Romain.

Oui, ce matin, je suis heureux. Heureux de me réveiller dans le lit du gars que j’aime. Je ne me lasse pas de contempler mon beau mâle brun endormi. Les lèvres entrouvertes, les paupières fermées, ses beaux cils bruns baissés, comme les stores d’une magnifique vitrine fermée, cela donne à son visage quelque chose de touchant, de vulnérable, presque enfantin.

Je suis ému par la magie opérée pendant le sommeil, une magie grâce à laquelle l’étalon Jérémie se transforme en un adorable choupinou de 19 ans.

En regardant mon Jérém endormi, je me dis que son armure portée au quotidien – une armure faite d’assurance, de désinvolture, d’insolence et d’arrogance – semble devenir transparente pendant le sommeil. En regardant mon Jérém endormi, j’ai l’impression de percevoir sa fragilité. Et d’apercevoir l’enfant qui se cache, qui se cherche.

Mince ! 9h45 ! A l’heure qu’il est, maman doit s’être rendu compte que je ne suis pas rentré. Et elle doit être inquiète à mort !!!

Pourquoi je n’ai pas pensé à lui envoyer un SMS plus tôt, dès que Jérém m’a proposé de rester dormir ?

Parce que le bonheur d’être avec Jérém m’a complètement happé…

J’attrape mon téléphone en panique et je découvre 5 appels en absence, et trois messages. Je ne les ai pas entendus, j’ai laissé le téléphone sur vibreur.

Depuis, maman a dû appeler chez Dimitri, c’est sûr ! Merde, je suis grillé !

Dans la panique, et sans même écouter ses messages, j’envoie vite un SMS :

Tout va bien, je ne vais pas tarder à rentrer

Un instant plus tard, je reçois sa réponse

Ok, à tout à l’heure chéri 

Rassuré par son retour, je retrouve aussitôt l’envie de profiter de cet instant magique.

Les petits bruits du matin remontent de la rue de façon de plus en plus insistante, rythmant le lent réveil dominical d’une ville qui a envie de prendre son temps. Oui, ce matin, rien ne presse. Alors, je ne me prive pas de rêvasser.

Cette nuit, j’ai dormi chez mon beau Jérém comme si on était en couple, comme si on habitait ensemble. Ce n’est que la deuxième fois que je me réveille à ses côtés et je me dis que cela me plaît beaucoup, vraiment beaucoup.

Et je ressens comme un vertige face à l’infinité des scenarii possibles qui s’ouvrent à moi à cet instant.

Je pourrais caresser ses cheveux, approcher mon visage du sien, frôler son oreille avec mes lèvres, descendre le long de sa joue, contourner sa mâchoire de mec, descendre lentement dans son cou, m’enivrer de l’odeur de sa peau.

Je pourrais me lancer dans l’exploration de son torse fraîchement rasé, à la peau toute douce, m’attarder à tâter la fermeté de ses pecs, me laisser happer par ses beaux tétons, passer le bout de la langue dessus, les mordiller légèrement.

Après avoir fait doucement glisser le drap de quelques centimètres, je pourrais descendre vers ses abdos, les contempler, les caresser. Je pourrais me laisser happer par son nombril et par cette fine ligne de poils diaboliques qui descend vers le bonheur masculin.

Et alors que le drap recouvrirait toujours sa virilité, je pourrais hésiter à le descendre davantage, tout en contemplant cette belle bosse qui me parlerait de sa virilité.

Je pourrais le réveiller en le prenant en bouche, le réveiller en lui faisant une bonne pipe, le réveiller en le faisant jouir.

Mais je pourrais aussi me lever et aller me doucher pendant qu’il dort encore. Je pourrais m’habiller dans la salle de bain, pendant que mon regard incrédule se baladerait inlassablement entre ce verre posé sur le lavabo, contenant un tube de dentifrice ainsi que deux brosses à dents, et ce panier à linge où nos fringues se mélangeraient.

J’arrangerais mes cheveux, je me ferais beau pour lui. Je traverserais le séjour sur la pointe des pieds, je m’approcherais de mon beau mâle brun pour poser un bisou sur ses lèvres. Je l’entendrais grogner quelque chose d’inintelligible, entre sommeil et veille. Et je sentirais ses lèvres me renvoyer ce baiser et sa main caresser mes cheveux.

En quittant l’appart, je refermerais tout doucement la porte derrière moi, la main dans ma poche pour m’assurer de la présence de ma clef, ma clef à moi. Je descendrais les escaliers, je me retrouverais dans la rue de la Colombette, dans l’air frais du matin, et je marcherais tout guilleret, le cœur léger, l’esprit heureux. Un petit vent d’Autan caresserait ma peau, me donnerait une irrépressible envie de chanter, de siffler, d’exprimer mon bonheur immense, l’envie de crier au monde entier à quel point je suis heureux !

A la boulangerie, j’attendrais mon tour, je prendrais deux croissants et deux chocolatines. Je remonterais à l’appart en grimpant les escaliers quatre à quatre. Je serais impatient de le retrouver. Et lorsque je débarquerais dans l’appart, il serait peut-être encore dans son lit, peut-être encore endormi ; ou alors tout juste réveillé, et il m’accueillerait avec son plus beau sourire incendiaire, tous pecs saillants dépassant des draps, avec un « bonjour, toi ! » plein de sensualité et de tendresse.

Je ferais couler un café dans la cafetière italienne posée sur la gazinière. Le bruit du café qui dégorgerait par la petite cheminée serait le bruit de son réveil et le délicieux et apaisant arôme qui se répandrait dans l’air le mettrait de très bonne humeur.

Je remplirais deux verres de jus de fruit et j’irais lui apporter le sien. Je les poserais sur la table de nuit et j’essaierais de réveiller mon chéri qui serait peut-être reparti faire un dernier tour dans les bras de Morphée. J’essaierais avec des bisous, et j’aurais besoin d’insister un peu pour qu’il émerge enfin. Non, définitivement mon Jérém ne serait jamais du matin, lui qui m’a dit une fois que les plages horaires entre 4 et 9 heures du mat ça ne devrait même pas exister.

Peut-être qu’avant de se lever, il aurait envie d’une petite gâterie pour faire tomber sa trique du matin, cette belle trique qu’un jeune mâle comme lui ne manquerait pas de manifester et que j’aurais devinée sous les draps.

Peut-être bien qu’après avoir commencé la journée en goûtant à une autre boisson chaude que celle que j’avais préparée, il faudrait tout faire réchauffer. Mais qu’importe, si j’étais en couple avec Jérém ce serait toujours dimanche, et on aurait le temps de vivre, et j’aurais toujours le temps de m’occuper de lui comme il se doit.

Et quand il se déciderait enfin à quitter les draps, lorsqu’il enfilerait un boxer et qu’il approcherait de la table, torse nu, sexy à mourir, ou avec un simple t-shirt blanc passé à la va vite, et pourtant si bien ajusté à sa plastique, et tout aussi sexy ; lorsqu’avant de s’installer pour prendre le déjeuner que je lui aurais préparé, il viendrait me dire bonjour et me remercier avec un bisou : à cet instant-là, je serais le garçon plus heureux de l’univers.

Je n’ai pas ma copie de la clef de l’appart et que je ne suis pas près de l’avoir. N’empêche que ce matin, après une telle nuit, surtout après le dernier feu d’artifice dans le noir, une partie de moi a eu très envie de marquer le coup en allant chercher les croissants.

Je me dis qu’un autre mec que Jérém apprécierait. Que Stéphane apprécierait sans doute. Mais je me dis aussi qu’avec Jérém ce serait un geste très risqué. Si ça se trouve, il pourrait voir « dans les croissants » une manœuvre pour tenter d’« officialiser » notre relation. Ça pourrait le mettre en pétard, et ça pourrait me faire reperdre tous les « points » que j’ai gagnés cette nuit dans notre relation. Non, je ne pense pas que mon beau brun soit prêt pour les croissants. Le sera-t-il un jour ?

Je suis happé par les mouvements nerveux de ses paupières, ainsi que par certaines expressions qui apparaissent et disparaissent sur son visage, autant de signes qui me font penser que mon beau brun est en train de rêver.

Mais à quoi rêve-t-il donc ? Et est-ce qu’il y a une petite place pour moi, dans ses rêves ? Y a-t-il une place pour moi dans sa vie à venir ?

Ses lèvres entrouvertes semblent demander un baiser. Une demande à laquelle je ne peux me soustraire, tout en veillant à ne pas le réveiller. Le contact de mes lèvres avec les siennes est toujours aussi bouleversant. Je m’allonge à nouveau, m’octroyant 5 petites dernières minutes de bonheur avant de partir. Mais le sommeil m’attrape par traîtrise et j’en oublie complètement la promesse faire à maman de rentrer rapidement.

Lorsque je me réveille à nouveau, il est 12h15 !

Ma première pensée est : Jérém n’est plus dans le lit !

La deuxième : Putain, maman doit être en colère !

Je lui envoie un nouveau message pour la prévenir que je vais être à la maison dans un quart d’heure chrono.

Le message envoyé, je peux me concentrer sur la deuxième angoisse apportée par ce réveil : l’absence de Jérém. J’ai beau jeter un œil dans la salle de bain ou bien sur la terrasse, il n’y a pas de trace de mon beau brun.

Mais où est-il passé ? Peut-être qu’il est sorti pour chercher un truc à manger pour midi. Je peux toujours rêver…

Je cherche partout dans l’appart un éventuel mot de sa part, sans vraiment croire à cette possibilité. Evidemment, je ne trouve rien. Je regarde dans mon portable à la recherche d’un SMS, et là encore c’est le silence total.

En réfléchissant, je parviens à la conclusion que le plus probable, et c’est même presque certain, c’est qu’il soit parti rejoindre ses potes pour le match de l’après-midi.

Pourtant, en me rhabillant, je ne peux m’empêcher de me demander ce que signifie son départ en catimini, sans prendre la peine de me réveiller et de me dire au revoir. Depuis combien de temps est-il parti ? Était-il réellement pressé en raison du match, ou bien avait-il juste envie de m’éviter, d’éviter une confrontation matinale ?

C’est la première fois que je me retrouve seul chez lui et ça me fait une drôle de sensation. Je me dis que je pourrais aussi voir cela comme une marque de confiance de sa part, un signe que quelque chose est en train d’évoluer entre nous. Mais je n’y crois pas vraiment, je n’arrive pas à être aussi optimiste.

Je voudrais tant savoir dans quel état d’esprit il se trouve après cette folle nuit, comment il était luné à mon égard à son réveil.

Mais pour l’heure, je n’ai pas vraiment le temps de me prendre la tête avec tout ça. Je dois filer, car j’ai de la route à faire et 15 minutes de Colombette à Saint-Michel, c’est là, pour le coup, très optimiste comme estimation.

Je passe vite fait à la salle de bain pour faire pipi. Ça ne devrait pas prendre plus qu’une minute chrono. Mais lorsque mon regard se pose sur la panière à linge, « vite fait » n’est plus d’actualité.

Je ne peux résister à la tentation de plonger mon nez au milieu de ses t-shirts, de ses boxers, de m’enivrer de ce mélange d’odeurs de linge, de parfum, de déo, de gel douche, de transpiration, et de jeune mec.

Fou d’excitation, j’attrape un t-shirt, blanc tant qu’à faire, et je le porte à mes narines. Le bouquet olfactif intense qui s’en dégage est plus puissant qu’une drogue.

Une idée fait alors surface dans mon esprit. Je passe ce t-shirt sur moi. Et je suis aussitôt conquis par l’excitante sensation de sentir mon torse, mes tétons caressés par le coton qui a caressé ses pecs, ses tétons, ses abdos. Bien sûr, ce t-shirt est bien moins ajusté sur mon torse que sur celui de mon beau rugbyman. Mais il est très beau, et il sent incroyablement bon.

Sans hésiter, sans pouvoir résister, je commence de me branler, tout en me regardant dans le miroir, le regard happé par ce beau t-shirt blanc col en V.

Et pendant que mon excitation monte en flèche, je me dis qu’il y aurait peut-être moyen pour que ma branlette soit encore plus délirante. Je replonge ma main dans le panier à linge, j’attrape un boxer, je le porte devant mon nez. D’autres délicieuses petites odeurs m’envoient en orbite.

Et lorsque je repense au fait d’avoir toujours son sperme en moi – et je repense notamment à cette bonne accolade au petit matin – il ne me faut pas plus que quelques instants pour jouir dans le lavabo.

Après cette bonne branlette, je suis tellement épuisé que j’ai à nouveau envie de m’allonger et de me rendormir. Et pourtant il faut que je me dépêche, les minutes passent, et j’ai de la distance à parcourir.

Quelle brillante idée, Nico ! Je n’aurais jamais dû me branler…

Le fait est que je n’ai pas pu résister. Le fait est que, dès l’instant où j’ai passé son t-shirt, c’est comme si Jérém était là avec moi, sur moi, sur le point de me baiser. Dès lors, me branler était inévitable, inéluctable.

Ce t-shirt me fait un effet de dingue. Et maintenant, je dois le quitter. Et là, une autre brillante idée me traverse l’esprit : et si je le gardais ? Et si je passais tout simplement ma chemisette par-dessus, sans la boutonner ?

Je mets mon projet à exécution, je passe ma chemisette sur son beau t-shirt blanc. Je me regarde dans le miroir et je trouve le résultat plutôt pas mal.

Quant au boxer qui m’a fait tant d’effet, pourquoi ne pas l’embarquer aussi ? Je ne suis plus à une subtilisation de sous-vêtement près.

Je quitte l’appart habillé du t-shirt de mon Jérém, emportant avec moi son odeur de mâle. Pendant que je marche, je sens le coton blanc caresser mes tétons et dégager un bouquet d’odeurs qui partent directement à l’assaut de mes narines. Et très vite je sens une nouvelle trique monter en moi. Une trique qui provoque un certain malaise, car j’ai l’impression que chaque passant que je croise peut la voir. J’ai l’impression de marcher à poil dans la rue.

Arrivé chez moi, et contrairement à ce que j’avais redouté, maman n’a pas appelé chez Dimitri. Et elle ne me fait pas la morale comme je m’y serais attendu. Mon père non plus, se limitant à me lancer un regard distant et désapprobateur.

Puisque le déjeuner n’est pas encore prêt, je ne peux faire autrement que de m’enfermer dans la salle de bain et me branler une fois de plus devant le miroir en reniflant ce t-shirt blanc et ce boxer qui me rendent dingue.

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Et pour cela, un grand

Fabien

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