JN01029 Nico prend les choses en main
Une main sur le volant, l’autre tenant sa cigarette, mon bobrun me ramène dans sa tanière pour se vider les couilles. A cet instant précis, mon envie de lui est sans limites. Alors, peu importe si, une fois encore, je n’aurai de lui rien de plus que du sexe. « Rien que du sexe », c’est déjà énorme.
Et quel bonheur, la porte du studio tout juste refermée derrière nous, de défaire un à un les petits boutons de cette magnifique chemise, de découvrir petit à petit – les mains tremblantes – cette plastique de rêve, cette peau mate et lisse à croquer.
Oui, quel bonheur immense, au fur et à mesure que mes doigts écartent les deux pans de tissu, de sentir remonter à mes narines les effluves tièdes et parfumés de son intimité.
Sa chemise est à présent complètement ouverte. Vision éblouissante, proximité étourdissante, j’en ai le vertige, la tête qui tourne.
Un instant plus tard, je me penche sur ses tétons, je les caresse, je les lèche, je les mordille, je fais sursauter le bogoss d’excitation. Je pose, tour à tour, mes lèvres, ma langue et mes doigts sur ses beaux boutons de mec bien saillants, les narines enivrées par les délicates petites odeurs de sa peau. C’est un bonheur indicible, un bonheur qui en appelle un autre, celui de remonter le long de ses pecs d’acier pour aller titiller avec ma langue le petit grain de beauté dans son cou, ce petit grain qui me fait craquer depuis toujours, mais que jamais encore je n’ai osé aller chatouiller.
Hélas, je n’ai pas l’occasion de m’y attarder bien longtemps car ses mains s’appuient lourdement sur mes épaules pour m’éloigner. Je n’oppose pas de résistance, visiblement ce type d’effusion n’est pas à son goût. Je retourne alors exciter ses tétons et le bogoss frissonne. Visiblement, il aime ça.
Quant à moi, j’aime lui faire ça, mais j’aime par-dessus tout savoir que ça l’excite à mort. Plus je sens Jérém excité, plus je le sens prendre son pied, plus j’ai envie de lui en donner, de me surpasser. Ainsi, pendant que ma langue s’attarde sur ses beaux tétons, mes doigts, à la fois fébriles et adroits, partent défaire sa ceinture et sa braguette à l’aveugle.
Mes doigts effleurent le coton doux de son boxer et à travers celui-ci, ils captent la raideur et la chaleur de sa queue tendue.
Un instant plus tard, alors que les doigts de mes deux mains s’affairent de façon très coordonnée sur ses tétons pour les exciter, ma langue entreprend une lente descente le long de la ligne médiane de son torse. Elle démarre par le fabuleux relief de ses pecs, elle traverse la magnifique région vallonnée de ses abdos, elle manque de se faire happer par le creux de son nombril, elle finit par emprunter ce magnifique sentier de poils fins qui conduit à la lisière de son boxer.
A genoux devant lui, le nez sur sa queue raide et chaude, tout juste dissimulée par le tissu fin et tendu, je m’attarde pendant un instant à humer le bouquet de petites odeurs de mec qui se dégagent du coton.
Je descends son boxer, et sa queue apparaît enfin. Elle est belle, fière et conquérante, je ne peux résister plus longtemps, je la prends en bouche, au comble du bonheur.
Pendant que je m’emploie à lui offrir une pipe d’anthologie, le bogoss laisse glisser sa chemise le long de ses épaules, de son dos, de ses bras. Elle tombe à terre, effleurant mon bras au passage. Instinctivement, je lève les yeux et je tombe sur ce torse imposant, sur ce corps de Dieu Grec qui me domine du haut de son mètre 80, avec ses épaules larges, ses biceps puissants, son brassard tatoué, sa chaînette de mec, et sa bonne petite gueule de jeune mâle à faire jouir d’urgence. Putain de mec beau et sexy. Putain de mec qui ne perd jamais le nord lorsqu’il s’agit de se faire sucer !
Et, alors que je suis happé par cette vision à couper le souffle, sa main se pose sur ma tête pour permettre à sa queue de mieux envahir ma bouche.
Quelques instants plus tard, le bobrun se dégage de moi, il se débarrasse de son jeans et de son boxer et s’allonge sur le lit. Il s’installe en position demi-allongée, en appui sur ses coudes et ses avant-bras. C’est beau à en brûler les yeux.
Alors, devant une telle invitation, une telle demande, cet ordre silencieux, cette injonction, je m’exécute sans attendre. Je le rejoins aussitôt sur le lit, je me glisse entre ses cuisses puissantes et je recommence à le sucer, impatient de lui offrir du plaisir.
Je mets tant de fougue et d’entrain à la tâche que je sens poindre rapidement les signes annonciateurs de son orgasme, ses ahanement caractéristiques, sa déglutition bruyante.
Puis, alors que jusqu’à là j’étais happé par le désir de précipiter sa jouissance, je me sens soudainement saisi par l’envie de tenter un truc. Pourquoi, au lieu de tout faire pour précipiter sa jouissance, je ne m’emploierais pas à la retarder autant que possible ?
En attendant de trancher entre ces deux envies opposées mais tout aussi tentantes, j’arrête de le sucer. Ma main prend le relais de mes lèvres, je le branle lentement. Comment va réagir mon beau mâle brun ?
Avec le coin de l’œil, je capte son regard étonné, interrogatif, frustré. Excité au possible, chauffé à bloc, tout près de venir, Jérém a l’air de se demander pourquoi je ne continue pas de le sucer jusqu’à le faire jouir, et jusqu’où je veux en venir avec mon manège à la con.
Non, je ne veux pas le faire jouir tout de suite. Je veux faire durer son excitation et son plaisir le plus longtemps possible. Et cela passe inévitablement par la frustration.
Pour la première fois à ce moment-là, je me rends compte que j’ai dans mes mains le pouvoir de lui donner du plaisir ou de le lui refuser ; le pouvoir de lui faire sentir que c’est moi qui mène le jeu, de lui faire sentir ce que ça fait d’être dominé : bref, un juste et excitant retournement des rôles, qui n’a pas été planifié mais qui se présente à moi comme une révélation.
Ma main, guidée par mes yeux – ces derniers rivés sur son corps, mesurant en temps réel la variation de son plaisir – varie la cadence, l’ampleur et l’appui des va-et-vient, à la recherche de la partition parfaite de son plaisir de mec.
De temps à autre, j’envoie ma bouche en renfort, j’enserre son gland entre mes lèvres, j’envoie le bout de la langue titiller le frein, offrant ainsi un supplément de frissons au beau mâle. J’adore le voir, le sentir fou de plaisir sous l’effet de mes caresses.
Je lui offre du plaisir en silence, il prend son pied sans un mot. Les seuls bruits autour de nous sont ceux de sa respiration profonde, de ses soupirs de plaisir, et les rares sons remontant de la rue au beau milieu de cette ville endormie.
Son regard en dit cependant long sur ce qui se passe dans sa tête, tout autant que ses mots crus pendant d’autres « révisions ».
J’adore ce regard un peu dérouté qu’il pose sur moi, j’adore déceler le dilemme qui fait rage dans sa tête, entre l’envie brûlante de m’ordonner de le faire jouir tout de suite, et celle de me laisser faire, de supporter la frustration pour découvrir jusqu’où je peux l’amener dans cette escalade de plaisir.
La gestuelle du beau mâle en dit long elle aussi sur le plaisir qui secoue son corps de fond en comble. Ce sont des mouvements brusques, incontrôlés, inconscients, qui trahissent son état d’excitation extrême.
Ses genoux et ses coudes se plient et se déplient inlassablement, ses mollets, ses cuisses, ses biceps et ses avant-bras se crispent et se relâchent sans cesse. Sa tête se rabat vers l’arrière, ses paupières deviennent lourdes, sa bouche s’ouvre comme pour rechercher de l’air, de plus en plus d’air, son visage traduit par des petites grimaces l’excitation de tout son être.
Je tiens sa bite doucement dans le creux de ma main et je le branle lentement. Je sais, je sens qu’il est à deux doigts de jouir, je sais qu’il n’en peut déjà plus de cette attente insupportable, je sais qu’il suffirait de quelques va-et-vient un peu plus rapides de ma main pour libérer cette tension érotique qui commence à submerger son corps et son esprit.
Mais j’ai envie de continuer de le faire monter en pression, encore un peu. Depuis le début de nos « révisions », Jérém a toujours été le maître du jeu de nos rencontres, de nos plaisirs et des règles qui les régissent.
Et là, pour une fois, c’est moi le maître du jeu, et c’est grisant. Alors, j’ai envie d’en profiter.
Je continue à frustrer son envie de jouir, une envie de plus en plus grande, de plus en plus intolérable, je repousse inlassablement l’explosion de son orgasme.
Tel un musicien de jazz, j’improvise des variations inédites sur le thème : « La route vers l’orgasme de mon Jérém ».
Sa respiration est de plus en plus saccadée, ses ahanements de plus en plus marqués. J’ai presque l’impression qu’il est à deux doigts de me supplier de le faire jouir. Certes, le mec est bien trop fier pour me supplier, mais son attitude corporelle en dit long sur les effets que mon petit manège provoque en lui.
Chaque fibre de son corps est tendue et excitée à l’extrême, sa peau semble dégager une sorte d’odeur de jeune mâle en rut. C’est tellement excitant d’arriver à capter, sentir, humer l’envie de l’autre.
Je trouve grandiose l’idée que le bogoss soit à ma merci, comme s’il avait les mains et les pieds entravés par des liens solides ; et le plus délirant, c’est que ce ne sont pas des liens physiques, mais des liens uniquement psychologiques, érotiques : sa confiance dans le fait que je puisse l’amener à un orgasme qui s’annonce hors normes, couplé à la crainte de ne jamais l’atteindre.
Oui, je le tiens, ce p’tit con : le voir gémir de plaisir, de façon de plus en plus désinhibée, grogner son plaisir sans vergogne, c’est tout simplement jouissif.
Ça a assez duré, il est temps de le délivrer de cette attente, de cette frustration, il est temps de le faire jouir. Je remplace ma main avec mes lèvres autour de sa queue, j’envoie le bout de ma langue titiller son gland.
Moins de cinq secondes plus tard, j’entends sa bouche émettre un râle puissant et incontrôlé, un râle comme jamais je ne l’avais encore entendu pousser lors de nos sauteries. Son sperme commence à jaillir lentement du creux de son gland, son goût de mâle s’étale partout dans mon palais.
Jérém vient de jouir et il se laisse tomber lourdement sur le dos, percutant le matelas de tout son poids. Sa respiration est rapide, sa pomme d’Adam s’agite frénétiquement, remuant nerveusement ce petit grain de beauté que je trouve si sexy, et encore plus à cet instant, trempé de sa sueur.
Jérém à l’air complètement assommé par le plaisir. Je jubile intérieurement d’avoir eu cette idée, de lui avoir offert autant de plaisir. KO sexuel, par cause de pipe magistrale.
A cet instant précis, Jérém n’a pas envie de baiser des nanas, son cousin ou qui sais-je d’autre. Le beau mâle est sexuellement repu. A cet instant précis, je me sens le seul gardien de ce trésor inestimable qu’est sa sexualité, le plaisir du plus beau garçon du lycée. Et je me plais d’imaginer que je suis le seul l’avoir amené si loin dans la galaxie de la jouissance. J’aime bien l’idée que, dans sa tête, une relation de cause à effet vient de se créer: Nico = le pied total. Alors, je ne suis pas peu fier de ma petite trouvaille.
Le bogoss reste ainsi, allongé sur le lit, immobile, en silence, faisant même l’impasse sur son inévitable cigarette d’après l’orgasme.
Puis, au bout d’un long moment, il finit par lâcher une première longue expiration qui semble venir du plus profond de ses poumons, presque un souffle libérateur.
« Putain… » je l’entends proférer du bout des lèvres. Le bogoss garde les yeux fermés, sa respiration tarde à retrouver le calme. Décidément, l’émotion a été intense.
« Ça va ? » je finis par lui demander.
Le bogoss ne répond pas de suite. Je m’allonge sur le lit à côté de lui.
« C’était dingue » il finit par lâcher « vraiment dingue… ».
« A ce point ? ».
« C’était puissant et… long, tellement long… je n’ai jamais joui aussi longtemps… c’était tellement puissant… quand je suis venu, j’en avais presque mal au ventre… j’ai senti mon cœur s’emballer… j’ai cru que j’allais y rester…».
Quel bonheur sans pareil d’entendre ça de sa bouche, quel bonheur de trouver le moyen de dévergonder ainsi et encore ce beau jeune mâle, de lui faire découvrir des nouveaux trucs, de le faire vibrer à chaque fois un peu plus, malgré sa déjà grande expérience en matière de sexe.
« Putain, mec, tu fais de ces trucs… ».
On m’aurait décerné un Oscar, un Grammy, un Nobel, je ne serais pas plus heureux.
« Je suis content que tu as aimé… ».
Jérém ne réagit pas, il récupère toujours.
« C’était bon ? » j’insiste, avide de le réjouir un peu plus de mon triomphe.
« T’es fou… où est-ce que tu as appris à faire ça ? ».
« Sais pas… j’ai pas appris… tu es le premier pour moi… ça m’est venu comme ça, sur le moment… ».
Jérém ne réagit pas à mes mots, il respire fort, il récupère toujours.
Allongé sur le lit, l’air si vulnérable, assommé comme par une cuite ou par un tarpé, mon Jérém est tout simplement d’une beauté à pleurer.
En cet instant, je ressens pour lui une tendresse infinie, un désir immense de douces caresses, de tendres baisers, de nous serrer l’un contre l’autre et de ne plus jamais nous séparer.
Je suis si touché, si ému que, malgré le petit « accident » de la dernière fois, je ne peux m’empêcher de laisser glisser mes doigts dans ses beaux cheveux bruns. Je ne peux m’en empêcher, j’en ai trop envie, j’en ai besoin même. Et puis je suis rassuré par le fait que, malgré cet « accident » et en dépit du sang d’encre que je me suis fait depuis vendredi et pendant tout le week-end, le bobrun n’a pas renoncé à nos « révisions ». Et c’est même lui qui est venu me chercher en boîte pour me « raccompagner ».
Alors, cette nuit j’ai envie qu’il se passe quelque chose de spécial, j’ai envie de lui montrer à quel point ça fait du bien de recevoir des câlins. Mais aussi, je voudrais lui montrer à quel point j’ai envie d’en recevoir à mon tour. J’ai envie qu’on se fasse du bien, j’ai envie que notre complicité ne se limite pas qu’au sexe, j’ai envie que le contact de nos corps soit un bonheur parfait, sans entraves, sans interdits.
Alors je le caresse. Et, pour mon grand bonheur, Jérém me laisse faire. Nuque, cou, visage, épaules, pecs : ma main se déplace lentement, ses mouvements sont légers et tout en douceur.
Les yeux toujours fermés, le bogoss ne bouge pas une oreille, son corps ne manifeste aucune réaction, mis à part, justement, l’absence de réaction hostile.
Petit à petit, j’en oublie mes craintes, je continue de le caresser, et je ressens un bonheur immense. Mais le bonheur le plus grand, c’est de réaliser qu’il apprécie mes caresses. Je le devine à travers de petits signes, comme l’apaisement progressif de sa respiration, de ses déglutitions, des traits de son visage, ou certains mouvements involontaires de ses lèvres, de ses paupières toujours fermées. Et je le trouve tellement touchant.
Quel changement d’attitude pour un petit con comme lui, aussi arc-bouté sur ses certitudes, sur ses tabous, sur ses interdits. L’origine de ce changement plutôt brutal, mais tellement bienvenu, réside-t-elle uniquement dans cet orgasme géant ayant balayé toutes les tensions et les peurs qui lui empêchaient de se laisser aller ?
Jamais je ne l’avais encore vu autant affecté par un orgasme. Est-ce que cela va constituer une sorte de « précèdent », à partir duquel les prochaines « révisions » vont pouvoir évoluer vers une plus grande complicité sensuelle ?
C’est tellement bon de lui dispenser ces câlins et de le voir les accepter : est-ce que ce le prix à « payer » pour accéder à ces instants de bonheur est de lui offrir un orgasme hors normes ?
En attendant, je profite de l’instant, de ce bonheur inespéré : ma main caresse son corps et mon corps frémit de la tête aux pieds ; je n’ai pas joui, je bande comme un âne, mais le bonheur de le caresser est tellement énorme qu’il m’accapare totalement, je voudrais que cet instant ne se termine jamais.
Je n’ai pas joui, je bande comme un âne, mais le bonheur de le caresser est tellement énorme qu’il m’accapare totalement, je voudrais que cet instant ne se termine jamais.
Je n’ai qu’une envie, celle de poser mes lèvres sur sa peau, une envie que, pourtant, je me contrains, je me force de ne pas assouvir, de peur de briser cet instant de pure grâce.
Oui, cette nuit, j’ai réussi à lui faire accepter des caresses et même si je n’en ai pas reçu de sa part, j’ai quand même connu le bonheur de le voir apprécier les miennes. C’est un grand pas, et c’est génial. Alors, inutile de prendre le risque de tout gâcher, mieux vaut ne pas brûler les étapes, savoir attendre et se réjouir de chaque petite victoire. Aujourd’hui j’ai eu les caresses, les bisous ce sera pour plus tard.
J’arrête mes câlins au moment où je perçois des petits frémissements m’indiquant que le bobrun s’apprête à se lever, certainement pour aller enfin fumer sa clope.
Je le regarde traverser la pièce habillé de sa nudité, presque chancelant. Je le regarde se pencher lentement sur son jeans pour attraper son paquet de cigarettes, je le regarde sortir sur la terrasse, disparaître à moitié dans la pénombre, le dos appuyé au mur. Je le regarde s’y reprendre à plusieurs reprises pour allumer sa clope – la faute au vent d’Autan, certes, mais aussi à ses mains tremblantes.
Je le regarde tirer la première taffe, relâcher le premier nuage de fumée, puis, se laisser glisser le long du mur, jusqu’à se retrouver en position assise, geste que je ne lui avais encore jamais vu faire. Définitivement, le petit con a l’air bien secoué. L’heure tardive, la fatigue, certes, mais aussi un orgasme qui l’a retourné comme jamais.
Cette nuit-là, nous ne recommençons rien de sexuel, Jérém n’a besoin de rien de plus, je n’ai besoin de rien de plus.
« Je crois que je vais y aller… ».
« Ok… ».
« C’était génial… ».
« Ouaissss… »
« Salut Jérém…
« Salut… »
Je quitte le studio le cœur plein de bonheur et d’espoir. Je sors dans la rue et j’ai l’impression de planer dans la fraîcheur du matin naissant.
C’est très rare de trouver cette harmonie, cette coordination sexuelle parfaite. Pourtant ce soir-là, le soir de la sortie de classe avant le BAC, cette harmonie était bien là. Ce soir-là, j’avais bien la situation en main, au sens propre comme au sens figuré.
Commentaire de ZurilHoros
22/06/2020 10:35
Nico découvre qu’il a du pouvoir .
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