JN01020 Rencontre avec Thibault et nouvelle révision avec le bobrun
Vendredi 25 mai 2001, 17h56
Le lundi suivant, Jérém porte sur son nez et son front les marques des coups pris samedi pendant le match. Ce qui rajoute encore du sexy à sa bogossitude ravageuse.
J’ai envie de lui à en crever. Je me languis d’une nouvelle révision. En cours, l’attente a été atroce. La frustration de ne recevoir le moindre signe de sa part, insoutenable.
Une semaine entière s’est péniblement étirée sans qu’à un moment le beau brun n’envisage de nouvelles « révisions » avec moi. Pire que ça, j’ai même l’impression qu’il m’évite. Est-ce que le plan avec Guillaume y est pour quelque chose ? Est-ce qu’il le regrette ?
Pourtant, la fin de l’année scolaire approche et le bac avec. Argument bancal, j’en conviens. Car, depuis le temps que nous « révisons », nous n’avons en effet rien révisé. Mis à part, en ce qui concerne Jérém, les mille et une façons de prendre son pied. Et, en ce qui me concerne, la « géographie pratique » de sa plastique de ouf, de sa sexualité, de cette virilité que je commence à vraiment très bien maîtriser. Si seulement ça pouvait être un sujet du bac, j’aurais la mention à coup sûr !
Jour après jour, les cours s’enchaînent sans relief, sans intérêt, glissant inexorablement vers le week-end, vers l’angoisse d’une nouvelle, interminable privation de sa présence. Ne pas coucher avec lui, c’est une torture. Ne pas le voir, c’est inhumain.
Le vendredi, alors que je trace pour rentrer chez moi avec le cœur plein de désespoir, je sens une main se poser sur mon épaule.
« Tu vas où si vite ? »
Je reconnais la voix, la prise de sa main ; je me retourne, et je tombe direct sur ce sourire de fou qui me fait fondre.
« Je rentre chez moi… » je lui réponds, aveuglé par son sourire ravageur. Quand il sourit, j’ai l’impression que le monde tout entier est un peu plus beau. Et ce sourire, qui m’est adressé, ressemble à ce rayon de soleil qui transperce les nuages après l’orage.
« Viens réviser… ».
« Quand ? ».
« Chez moi dans 30 minutes ! ».
Sur ce, le bogoss se tire. Je trouve son assurance tout aussi fascinante que déroutante.
Voilà comment ce lundi-là, à 17h56, je me retrouve à monter la dernière volée d’escaliers donnant accès à cet endroit hors du temps et de l’espace, situé pile à mi-chemin entre Paradis et Enfer, qu’est le studio de Jérém.
Mais mon envol est brusquement coupé par un évènement inattendu, la présence d’un mec sortant de chez Jérém. Un mec dans lequel, après la surprise, je reconnais Thibault, le meilleur pote du bobrun.
Thibault, très beau garçon, lui aussi. Plus petit et plus charpenté que Jérémie, avec des beaux cheveux châtain coupés courts, des yeux marron-vert, un visage aux traits à la fois doux et virils.
Sans être vraiment moulant, son t-shirt marron redessine quand-même ses épaules carrées et le V de son torse solide d’une façon remarquable.
« Salut, moi c’est Thibault… » il se présente, tout en accompagnant ses mots par un sourire magnifique, et en me broyant la main avec sa poignée puissante de mec. Sacrée paluche, le type.
Je connais ce garçon et je sais qu’il est le meilleur pote de Jérém, un copain de rugby. Je l’ai côtoyé lors d’une soirée de fin d’année, sans qu’on ait vraiment l’occasion de faire connaissance. Je l’ai vu récemment, lors du match auquel j’ai assisté avec ma cousine.
« Salut, moi c’est Nico… ».
« Enchanté de faire ta connaissance, Nico… » fait-il, tout en plantant son regard dans le mien, un regard qui semble instantanément me « mettre à nu ».
Oui, quelque chose dans son regard me fait direct me demander si le beau Thibault ne serait pas au courant des « révisions ». On a toujours l’impression d’être sur le point d’être découvert, lorsqu’on se sent « coupable ».
« Enchanté moi aussi… ».
« Tu viens pour réviser avec Jé-Jé ? ».
Ah, Jé-Jé, je n’avais encore jamais entendu personne l’appeler de la sorte. Jé-Jé, ça sonne bien, ça a un côté touchant, plein d’affection.
« Oui, on fait des maths… ».
« Révisez bien, alors ! C’est gentil de l’aider… » il me lance, en disparaissant dans les escaliers.
« Il a l’air cool Thibault… » je commente, en rentrant dans le studio de Jérém.
« Ouais » il lâche « il est cool, c’est comme mon frère, je sais tout de lui, et il sait tout de moi… ».
« Même pour nos révisions ? » je lance à la cantonade, sans trop réfléchir.
Ma boutade est suivie par un silence assez long pour regretter mon culot et pour que je commence à flipper de me faire jeter. Mais le bobrun a d’autres programmes :
« La ferme et viens sucer ! ».
Le dos appuyé au mur juste à côté de la porte de la salle de bain, il ôte son t-shirt.
La perfection à chaque fois bouleversante de son anatomie fait monter en moi un désir déraisonnable.
Un instant plus tard, je suis à genoux, le nez devant sa braguette, en train de défaire les boutons un à un, tout en reniflant l’odeur de jeune mâle qui se dégage du coton noir du boxer. Je titille sa poutre raide avec ma langue à travers le tissu, je l’excite jusqu’à ce qu’il n’y tienne plus, jusqu’à ce qu’il sorte sa queue d’un geste rapide et qu’il me la fourre direct dans la bouche.
Je le pompe avec entrain, affamé de sa virilité. J’ai presque envie de pleurer tellement je suis heureux de goûter à nouveau à cette peau douce, à cette queue ferme, aux odeurs de petit mâle qui se dégagent de son excitation grandissante. Je me sens si bien lorsque je le suce, lorsque je le sens frissonner de plaisir, je pourrais passer des heures, je pourrais passer ma vie entière à le sucer.
Mes lèvres quittent provisoirement sa queue, et ma langue s’envole pour aller titiller ses bourses. Je m’attarde à cet endroit exquis, presque secret, ce p’tit creux entre la naissance de la queue et celle des bourses. J’y plonge mon nez et chaque inspiration m’amène ce bouquet entêtant qui ravit mes narines et secoue mes sens.
« Suce-moi encore…».
Quand les choses sont aussi bien posées et exprimées, énoncées sans détour par le son d’une voix excitée et ferme, comment ne pas obéir ?
Je m’arrache, bien qu’à contrecœur, de cet endroit fabuleux, tout en me disant que j’y retournerais très vite.
Ma tête et mes sens en émoi, je le pompe avec tellement de vigueur que, au bout d’un court moment, il jouit sans pouvoir contenir son bonheur :
« Je viens je viens, oui…oui…oui…ouiiiii…avale bien…oui…bonne salope…».
Sa semence gicle copieusement dans ma bouche. Qu’est-ce que j’aime son goût de mec !
Un instant plus tard, le bogoss remonte son boxer et son jeans et sort en terrasse, torse nu, pour son inévitable cigarette.
Lorsqu’il revient, il pose à nouveau son jeans et son boxer, il s’allonge sur le lit, à côté de moi. Sa queue à nouveau bien tendue est une claire invitation à la débauche.
« Viens t’empaler sur ma bite… ».
Une minute plus tard, je suis à cheval sur son bassin, en train de laisser glisser lentement mon trou sur son manche raide.
Jérém est désormais complètement allongé sur le lit, les bras pliés, les mains entre la tête et l’oreiller, les aisselles finement poilues bien en vue, les biceps bandés, craquant à mourir.
Je commence à monter et descendre, à coulisser sur sa queue, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. C’est très physique, mais le bonheur d’avoir sa queue en moi me fait oublier l’effort. D’autant plus que Jérém a allongé les mains pour venir exciter mes tétons, ce qui a le pouvoir de faire exploser mon excitation et de décupler la vigueur dans mes mouvements entraînant son plaisir de mec.
Comme quoi, le bogoss a bien compris mon fonctionnement, et la manière d’en tirer avantage !
Tour à tour, ses mains se faufilent sous mes fesses, saisissent mes reins, ses biceps puissants s’activent pour amplifier mes mouvements de va-et-vient sur sa queue.
Puis, à un moment, une lumineuse idée se présente à mon esprit. Je laisse mes bras partir vers l’arrière, mon torse avec, je pose mes mains à plat sur le matelas, à peu près à hauteur de ses genoux. Je prends appui sur mes pieds et sur mes mains pour donner davantage d’ampleur à mes oscillations tout en m’économisant physiquement, et en prenant encore davantage mon pied !
Le seul inconvénient de cette nouvelle, fabuleuse position est que mes tétons sont désormais hors de la portée des doigts magiques de mon bel amant. Mais tant pis, c’est tellement bon !
« Oui, oui, vas-y comme ça, c’est bon… putain que c’est bon ! » je l’entends siffler.
Le bogoss est à nouveau en position accoudée, la tête renversée vers l’arrière, débordé par le bonheur sensuel.
Cette nouvelle position, l’amplitude des va-et-vient qu’elle autorise, finit par amener rapidement le bogoss aux portes de la jouissance.
« Putain… tu vas m’avoir… » il lâche, alors que sur sa belle petite gueule moite (qu’il a ramenée vers l’avant) les signes qui annoncent le sommet du plaisir masculin commencent à se manifester.
« Putain… ça vient, c’est trop bon, vas-y… plus vite, plus vite… oui oui oui… ».
Le bogoss vient de jouir et je ne peux me résoudre à quitter cette queue toujours raide. J’ai horriblement envie de jouir, mais je me perds dans cette vision qui se présente à moi, celle d’un apollon en train de récupérer après l’effort sexuel, la respiration emballée, la vision de cette bombasse de mec qui vient de me remplir, une fois de plus, de son jus de mec.
Je reste là, enfoncé sur son sexe toujours tendu, jusqu’à que je devine son intention de se dégager.
Après une cigarette fumée en terrasse, le bogoss revient avec une envie bien précise : me baiser à nouveau. Quand je dis que c’est excessivement passionnant la sexualité d’un garçon de 19 ans…
Jérém monte sur le lit, il attrape mes chevilles, les soulève, m’attire vers lui, et il vient en moi. Il me prend, sans demander, comme si je lui appartenais. Sa queue s’enfonce en moi sans entraves, elle glisse dans mon trou déjà lubrifié par son jus de mec.
Et lorsqu’elle arrive au bout de sa course, lorsque je suis rempli de sa virilité, lorsque ses couilles se calent contre mes fesses, je sens que je suis à deux doigts de jouir. J’ai l’impression que, dans l’état d’excitation dans lequel je suis, je vais venir rapidement sous les coups impitoyables de son mât.
Me voilà les jambes bien écartées, envahi par son manche bien dur, en train de me faire divinement tringler, d’assumer avec un plaisir non dissimulé ma deuxième sodomie en quelques minutes.
Ses mains prennent appui à plat sur mes pecs, ce qui approche un peu plus encore ma jouissance. Elles s’agrippent à mes épaules, puis à mes flancs, se posent à plat sur le matelas, de part et d’autre de mes épaules. A chaque fois, ses coups de reins changent d’intensité et de cadence, l’angle de pénétration varie, le plaisir qu’il m’offre se décline en mille nuances.
Je regarde son corps onduler à la recherche du plaisir, sa chaînette taper sur ses pecs au rythme de ses va-et-vient, sa peau moite Je regarde sa jolie petite gueule excitée, les yeux plissés, la bouche entrouverte, tout son être tendu à la recherche du plaisir. Ses pecs se bombent, ses abdos travaillent, ses biceps se gonflent, le bomâle me domine de toute la puissance de son torse et de ses bras.
Je le sens coulisser en moi et j’ai à la fois envie que ce bonheur sensuel ne se termine jamais et hâte de voir son corps débordé par un nouvel orgasme, de sentir ses derniers coups de reins pendant qu’il me remplira une nouvelle fois de sa semence. C’est le plus beau des spectacles à mes yeux.
Mon corps est une torche brûlante de plaisir. Des couinements de plaisir sortent de ma bouche presque malgré moi, comme si mon corps ne pouvait plus les contenir.
« Shut !!! » fait le bogoss, en portant une main sur ma bouche.
Oui, j’oubliais, la porte fenêtre de la terrasse est ouverte. « Putain qu’est-ce que tu es beau Jérém, tu es le mec le plus canon que je connaisse ! » je ne peux m’empêcher de lui balancer, comme en état d’hypnose.
« T’as envie que je te fourre le cul, hein ? ».
« Oh oui… ».
« T’as tout le temps envie d’en prendre plein le cul ! ».
« Qu’est-ce que tu baises bien avec ta queue… ».
« Tu mérites que ça, te faire démonter la bouche et le cul… ».
« Oh oui, c’est tout ce que je demande… ».
« Ah, oui… je t’ai vu tout à l’heure comment tu avais faim de renifler mes couilles… et de gober ma queue… ».
« Oh, oui, ça sentait trop bon… ».
« Ça sentait quoi, dis-moi ! ».
« Ça sentait… le mâle… ».
« T’as envie de renifler des odeurs de mâle, hein ? ».
« Ça me fait jouir… ».
« Tiens, goûte à ça alors… ».
Et là, en joignant le geste à la parole, sans arrêter de me tringler, le bogoss attrape son boxer posé dans un coin du lit et il me le balance sur la figure.
La détermination et la fermeté surexcitées de sa voix font évaporer sur le champ toutes mes réticences. J’attrape le boxer et je le porte contre mon visage. Un bouquet de petites odeurs entêtantes de jeune mâle se dégagent du tissu doux. Je suis fou. Je l’écrase contre mon nez, en essayant d’extraire le moindre arôme viril.
« C’est bon, hein ? Vas-y, renifle, pendant que je te démonte le cul… ».
A chaque respiration une nouvelle vague d’odeurs masculines assaillit mes narines, m’enivrant comme une drogue.
« Tu aimes, ça, hein ? ».
Je hoche la tête en guise de réponse.
« Putain, je vais te défoncer ta chatte de salope ! ».
Ses coups de reins redoublent d’intensité. Ce qui me pousse de plus en plus près du bord du précipice de l’orgasme et qui me fait à nouveau couiner de plaisir.
« Shut ! Ferme-la ! Il y a des voisins ! » m’engueule à nouveau le bogoss.
Puis, quelques instants plus tard, il lâche la plus belle réplique qu’un bogoss peut donner :
« J’vais jouir… ».
Je suis fou, je me dis que Jérém va encore me faire ce cadeau, déposer son jus bien au fond de moi.
Mais le bogoss a d’autres projets. Soudain, il se retire de moi. Et là, tout en se branlant, il bondit littéralement, avec la souplesse et la puissance d’un fauve, pour se mettre à califourchon sur mon torse.
« Ouvre la bouche ! » je l’entends me balancer avec l’urgence d’un mec qui va jouir.
J’éloigne son boxer de mon visage, alors qu’un premier jet puissant a déjà percuté ma pomme d’Adam, j’ouvre mes lèvres juste à temps pour recevoir dans ma bouche de bonnes giclées bien lourdes, bien chaudes, délicieuses.
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