JN01008 Baise avec Jérémie entre deux cours
Lundi 7 mai 2001.
Le lundi suivant, le temps a bien changé. Avec la pluie, l’air du printemps s’est drôlement rafraîchi.
Le beau Jérémie s’est adapté au changement climatique en conservant le mode « short », certes, mais en enserrant son torse dans un pull à capuche gris qui en rajoute encore à son côté mauvais garçon, une tenue qui lui donne même un petit air de p’tite frappe qui le rend craquant à souhait.
On est toujours éblouis par la nouvelle tenue de celui qui nous plaît. Sans compter le fait que le zip partiellement ouvert laisse entrevoir l’arrondi d’un débardeur blanc posé sur sa peau mate et à nouveau rasée de près. Qu’est-ce que c’est beau cette peau mate sans poils. J’ai envie de plonger mon nez dans ce débardeur, avec ou sans poils !
Après sa réflexion de la veille, j’évite soigneusement de le regarder. Je ne lui adresse même pas un bonjour. De son côté, le bobrun m’ignore comme il sait si bien faire. Je le regarde vivre sa vie, déconner avec les autres camarades, comme d’habitude. Rien dans son attitude ne laisse deviner de loin ou de près qu’hier après-midi il m’a baisé et qu’il a joui en moi…
« Tiens, Nico, toi qui a l’air bien ailleurs ce matin, tu vas venir au tableau et nous réexpliquer la formule que je viens de développer… ».
Lorsque la prof de maths s’adresse à moi de cette façon directe et inattendue, j’ai juste envie de partir en courant.
Je me lève et j’ai mal partout, tous mes muscles sont endoloris, je marche et je sens l’écho de ses coups de queue dans mon entrecuisse. Je crois que je n’ai jamais été autant mal à l’aise de ma vie.
J’ai l’impression de sentir les regards de tous les camarades sur moi, comme si toute la classe était au courant que je me suis fait baiser comme une salope.
Une fois au tableau, je tente de me coller à l’explication, mais je pars en live. Je n’ai pas tout suivi, je me mélange les pinceaux, mes phrases sont confuses, je bafouille, j’ai le visage en feu, je transpire.
Je fuis le regard de Jérémie comme la peste. Pourtant, à deux ou trois reprises, j’ai la nette impression qu’il me fixe de façon appuyée, comme s’il cherchait à attirer mon regard, comme s’il jouait avec mes nerfs. Cela n’est peut-être que dans ma tête, pourtant cela contribue à mon malaise grandissant.
J’ai le plus grand mal à arriver à la fin de la démo, je suis en nage et j’ai le souffle coupé.
Contre toute attente, à la sortie de la cantine, le petit con vient me parler.
« T’es fort en maths, mec…» il me lance, sur un ton inhabituel, presque affable.
« Tu parles, j’ai été archinul tout à l’heure… ».
« Si elle m’avait demandé d’y aller, j’aurais dû raconter des blagues pour meubler… toi t’es fort… ».
« C’est pour ça que tu as accepté de réviser avec moi… » j’aurais aimé avoir de cran de lui répondre.
« Je me débrouille…» ce sera ma réplique.
Jérémie est là, devant moi, je sens son regard sur moi et je vibre de désir. Son parfum est envoûtant, son charme est envoûtant, son sourire l’est aussi.
« Faut vraiment qu’on révise…» fait-il avec un petit sourire au coin des lèvres.
C’est qu’il y prend goût le saligot, j’adore !
« C’est quand tu veux, tu sais…» je m’étonne d’arriver à lui répondre.
« Je sais bien… » il réagit du tac-au-tac, en appuyant ces quelques mots avec un large sourire malicieux qui me rappelle à quel point je lui « appartiens » sexuellement. C’est un brin humiliant mais tellement excitant.
« Tu me rends dingue… » j’ai l’audace de relancer.
« Elle te plaît ma queue, hein ? » fait le bogoss, visiblement flatté et excité.
Je décide de le suivre sur ce terrain et d’essayer de l’exciter encore plus.
« Oh oui…t’es trop sexy, mec… j’ai très envie de toi…».
« Ça t’a plu que je te fourre bien profond… ».
Le bogoss vient de toucher une corde sensible, certes. Pourtant, sa présence, sa proximité, le désir qu’il fait flamber en moi juste en me regardant, en me parlant avec ces mots crus, me font oublier toute inquiétude. A cet instant précis, je n’ai plus qu’une envie, qu’il jouisse à nouveau en moi.
« Je ne demande que ça… ».
« C’est ça que tu voulais, te faire remplir… ».
Décidemment, le mec sait me parler.
« Tu peux me remplir autant que tu veux… ».
Sa pomme d’Adam s’agite nerveusement, alors qu’une étincelle lubrique s’allume dans son regard.
« File aux toilettes à l’étage et attends-moi… » il me balance, avant de s’éloigner.
J’ai tout juste saisi ses mots. Ai-je bien compris ? Il ne va quand même pas oser ça ? Entre deux cours, au lycée, dans des toilettes où l’on pourrait nous surprendre ? Il n’y a qu’une seule façon pour en avoir le cœur net.
Les toilettes à l’étage sont désertes à cette heure-ci. Le visage en feu, je m’approche du lavabo et je fais couler l’eau.
J’ai l’impression d’avoir des papillons géants et surexcités dans le ventre, je ressens comme de l’électricité circuler entre mes tétons, ma queue, jusqu’à mon trou.
J’attends plusieurs longues, interminables, excitantes minutes, partagé entre la crainte d’être surpris par quelqu’un d’autre, le doute qu’il m’ait joué un canular et l’inquiétude qu’il vienne vraiment et qu’on se fasse gauler pendant nos ébats. Mais qu’est-ce qu’il a donc dans la tête ?
Mon cœur bat à tout rompre pendant ce moment d’attente qui me paraît durer une éternité. J’ai les jambes en coton, je suis tellement stressé que mon érection finit par retomber.
Et la porte s’ouvre enfin, Jérémie surgit d’un pas rapide.
Le zip de son pull à capuche désormais grand ouvert, la vision de son débardeur blanc, avec ses fines rayures verticales sculptant le relief de ses pectoraux, est tout simplement à tomber. Et ce mec a envie de me baiser, moi, là, tout de suite, dans les chiottes du lycée…
D’un geste rapide il arrête l’eau dans le lavabo. Puis, d’un simple mouvement du menton, il m’indique l’une des cabines. Je n’arrive pas à le croire, il va vraiment le faire.
Face à mon hésitation, il finit par m’intimer :
« Dépêche-toi, vas-y! ».
Tout se passe très vite. Le bogoss referme précipitamment la porte des chiottes derrière nous, il défait sa ceinture, il déboutonne son short. Je baisse le mien, tout en retirant également mon pull et mon t-shirt.
Ses mains se posent fermement sur mes épaules, elles manœuvrent de façon musclée et directive pour me retourner vers le mur du fond, elles me font pencher vers l’avant, juste au-dessus de la cuvette.
Je l’entends cracher dans sa main, enduire sa queue, puis mon entrejambe, vite fait.
Très vite, je sens son gland se presser contre ma rondelle. Sans prendre le temps d’autres préliminaires, il passe en forcing, et « à cru ».Hier une capote a cassé, aujourd’hui il s’en passe.
Sur le moment j’ai mal, je suis à deux doigts de lui demander de se retirer. Mais une fois son zob bien au fond de moi, je me sens tellement possédé, rempli, heureux de me laisser soumettre à l’appétit sexuel débordant de ce jeune mâle, que très vite la douleur se transforme en bonheur sensuel.
Le bobrun entreprend de me ramoner avec vigueur. Les jambes bien écartées, mon entrejambe envahi par sa queue, secoué par ses assauts, je tente de garder l’équilibre en prenant appui avec mes mains aux coins du minuscule espace.
La petite cabine empeste grave l’urine de mec, mais je n’en ai cure. Mon beau Jérémie est en train de me défoncer sans ménagement, les mains crochetées sur mes épaules pour donner plus d’ampleur à ses coups des reins. Ce qu’il me fait est trop trop bon. Et l’idée qu’il va à nouveau jouir en moi, me rend complètement dingue.
Pendant qu’il me lime sans répit, je tente d’imaginer toutes les fois où il a dû jouir sans capote. J’essaie d’imaginer ce qu’il ressent lorsque le plaisir explose dans son corps musclé et dans sa tête, lorsque sa semence jaillit de sa queue pour aller se répandre dans une chatte ou dans un cul de nana. Est-ce qu’il a déjà eu l’occasion de gicler dans le cul d’un mec avant moi ?
Au final, je suis si excité que j’accepte de prendre le risque. Déjà, parce qu’il m’a dit qu’il n’avait rien. Et aussi et surtout, parce que j’ai trop envie de ça. Le désir rend fou.
Le bogoss se penche sur mon dos et ses abdos rencontrent mes reins, ses pecs se posent juste en dessous de mes épaules. Je sens ses halètements juste derrière ma nuque, son souffle chaud dans mon cou et sur mes oreilles. Je suis fou !
Et alors que ses coups de boutoir s’enchaînent implacablement, je le sens passer une main sous mon t-shirt, effleurer la peau de mon torse.
C’est la première fois qu’il me touche autrement qu’avec sa queue ou dans une prise musclée avec ses mains pour mieux me défoncer et prendre son pied. Au contact léger de ses doigts, je ressens des petites décharges électriques irradier dans tout mon corps.
Ses doigts se baladent sur la peau de mon torse et finissent par frôler la zone la plus érogène de mon anatomie : mes tétons. Le bobrun y revient à plusieurs reprises, ce qui me fait sursauter de plaisir. Très vite, le mec finit par détecter ma faiblesse.
« En plus t’es sensible des tétons, une véritable salope ! » il me chuchote, la voix chargée d’excitation, l’attitude de mâle dominant et macho.
Je ne suis plus qu’une torche enflammée de plaisir et qui ne demande qu’à s’embraser encore davantage.
Le bogoss se relève, tout en continuant de me pilonner de façon musclée. Je ne peux pas le voir mais je l’imagine bien dans une attitude on ne peut plus « mec », le torse légèrement penché vers l’arrière, les épaules bien ouvertes, le visage vers le ciel, la bouche entrouverte à la recherche d’air, en train d’envoyer les puissants coups de reins qui secouent mon corps de fond en comble.
Le mec est très excité, mais pressé, car on peut nous surprendre, et les cours reprennent dans 10 minutes.
Lorsque ses coups de rein ralentissent, ses doigts se crispent sur mes épaules, et tous ses muscles se tendent sous la déferlante de son plaisir de mec.
Un instant plus tard, il jouit, en se faisant violence pour contenir ses râles puissants. Seule sa respiration, profonde, saccadée, traduit la violence de son orgasme, rythmant la succession des flots de sperme qu’il est en train d’envoyer en moi, marquant ce moment éphémère où l’esprit d’un mec s’évapore, complètement emporté par la vague géante de sa jouissance.
Le bogoss se retire rapidement de moi. Je me relève aussitôt. En me retournant, je tombe fatalement sur sa queue luisante de sperme. Mais déjà monsieur-débardeur-blanc-immaculé me pousse vers un coin du minuscule espace.
Je n’ai pas le temps de me poser la question de savoir à quel jeu il voudrait jouer à présent, que ses intentions, bien plus terre à terre, me sautent aux yeux. Je le vois diriger sa queue vers la cuvette et, très rapidement, laisser échapper un épais jet d’urine.
Ah putain !Je me dis qu’il faut être sacrement à l’aise avec son corps pour arriver à pisser juste après avoir joui, sous les yeux de quelqu’un, et dans un espace si confiné, qui plus est. Quand je pense que je suis bien incapable de pisser dans les urinoirs si quelqu’un est à côté… Définitivement, ce mec me fascine.
Son jet continu et dru dégage une bonne odeur d’urine de jeune mâle. Je suis happé par ce spectacle inattendu.
En ce moment précis, un nouveau fantasme vient de surgir dans ma tête : moi à genoux, lui debout devant moi, en train de m’asperger avec son jet jaune et odorant.
Un fantasme qui disparaît aussitôt, lorsque Jérémie remonte son boxer et son short et qu’il se tire en vitesse, en claquant la porte derrière lui, me laissant seul dans ce WC, vidé de sa présence, rempli de sa semence, en proie à une sensation de manque très violente.
Je referme la porte et je me soulage à mon tour. Qu’est-ce que j’aime ça, le faire jouir, qu’est-ce que je kiffe le fait que, pendant nos « révisions », il ne soit question que de son plaisir à lui, que mon plaisir de mec soit mis entre parenthèses, et que je prenne mon pied uniquement grâce à la puissance de mon mâle, en me soumettant complètement à sa puissance sexuelle, en offrant mon corps à une jouissance qui n’est pas la mienne. Et avoir son jus en moi, putain, quelle sensation !
Pourtant, lorsque le mâle a joui, lorsque je me retrouve seul et rempli de sa semence, je retrouve l’envie de me soulager « comme un mec ». Je réalise qu’en fait, être passif c’est avoir la chance de jouir deux fois, et de façon tellement différente.
Lorsque j’arrive en classe, le cours a déjà commencé. En passant la porte, j’ai une fois de plus l’impression que tout le monde me regarde, que tout le monde sait. Je suis passé devant le miroir juste avant de quitter les chiottes, et j’ai eu l’impression d’avoir précisément l’air d’un mec qui vient tout juste de se faire baiser.
D’autant plus que j’ai l’impression d’amener avec moi les odeurs dont était remplie cette cabine, l’impression de puer la pisse de mec ; mais aussi l’impression de sentir le jus de Jérémie.
J’ai peur de me prendre une réflexion de la prof, ce qui attirerait encore davantage l’attention vis-à-vis de mon retard « suspect ».
Je suis très mal à l’aise, et j’ai peur que Jérémie aussi soit mal à l’aise. Pourvu qu’il soit arrivé à temps pour ne pas trop éveiller les soupçons. J’évite de le regarder.
Par chance, la prof continue son speech sans s’occuper de moi. Il ne me reste plus qu’à essayer de me concentrer sur le cours.
Mais comment arriver à me concentrer, après ce qui vient de se passer, alors que j’en tremble encore ? Et alors que le bogoss est là, devant moi, le débardeur blanc désormais pour seule enveloppe de sa plastique de rêve, beau comme un dieu qui vient de jouir ?
Si près et si loin à la fois, si furieusement sexy et si inaccessible, tant qu’il n’aura pas décidé du contraire. Je n’ai aucune prise, aucun pouvoir de provoquer ces « révisions » dont j’ai envie plus que tout au monde, et c’est tout bonnement insupportable.
Ce mec est vraiment incroyable. Dix minutes plus tôt, il me remplissait de son jus. Et maintenant, il est assis en cours, la main d’Anaïs sur sa cuisse, faisant semblant d’écouter, comme si de rien n’était. Putain de mec !
Commentaires
ZurilHoros
21/06/2020 08:51
Pour la première fois, on lit qu’il y a un échange entre Jérém et Nico. Jérém domine et humilie, mais Nico, à sa façon, entre dans le jeu et devient un partenaire. Il se sent capable d’exciter Jérém. Il jouit également du rôle qu’il tient et qui semble l’amuser. Ils franchissent un cap à chaque fois en allant plus loin, ce qui peut paraitre trash. C’est une exploration du désir masochiste, une sorte de version de « Belle De Jour » au lycée. Comme dans le film de Bunuel, il faut bien admettre que cette mise à jour des désirs inavouables est assez troublante.
ZurilHoros
21/06/2020 08:51
Je pense qu’il est un peu présomptueux le Nico pour croire que Jérém va lui sauter au cou. Au regard de ce qui s’est passé la veille, c’est pas trop son trip. Le mec a clairement eu besoin de marquer son territoire de façon bien obscène et pas subtile. Nico ne sait pas sur quel pied danser. Je trouve assez curieux que Jérém n’ait pas été clair sur les règles à respecter. Je n’ai pas l’impression qu’ils révisent tellement mais Jérém doit aimer ça puisqu’il recommence et qu’une autre révision est dans les cartons. Pourquoi a t-il autant besoin de dominer, est ce que c’est ce qui l’excite. Trouver quelqu’un qui lui autorise d’exprimer sa volonté de toute puissance n’est peut pas si facile. En tout cas, le rôle semble convenir à Nico, qui devient accroc.
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