Suivre Jérém&Nico :    / HDS dashboard       DISCORD chat      Facebook    Écrire à Fabien    

JN01074 Dans le creux de ses pecs

Il y a quelque chose d’extrêmement excitant dans le fait de voir le beau Romain abdiquer provisoirement de son statut de « mâle dominant », de le voir accepter de s’offrir au plaisir d’une autre mâle « dominant ».

C’est beau de voir ce beau barbu se décrisper au fil des va-et-vient de mon Jérém. C’est beau de le voir passer du mode « maîtriser les assauts » au mode « jouir des assauts » de la queue de mon beau brun.

Oui, peu à peu les grimaces disparaissent, et l’extase vient illuminer son visage. Ses ahanements se font plus bruyants, puis deviennent des gémissements étouffés.

« Tu la sens bien là, hein ? » j’entends lâcher mon Jérém. Plus insolent, plus petit con, plus macho, on ne pourrait pas faire.

« C’est bon, mec !

 — Tu kiffes, ça hein… le mec qui ne suce pas ?

 — Ferme-là et baise-moi, mec ! »

Même si le spectacle est terriblement excitant, je ne peux m’empêcher de me demander comment un mec qui a commencé sa soirée en annonçant fièrement : « Moi je ne suce pas », arrive quelques minutes plus tard à lâcher : « Baise-moi, mec » ?

Les coups de reins de mon beau brun se chargent rapidement d’une certaine dose de brutalité. Comme s’il voulait montrer toute l’envergure de sa puissance virile, une sorte de revanche « sexuelle » après l’insolence du beau barbu.

Je ne peux le quitter des yeux et nos regards finissent par se croiser. Et dans le sien j’arrive à entrevoir son esprit embrumé par l’alcool, la fumette, l’excitation sexuelle, la proximité de sa jouissance. Son regard semble s’attarder sur ma main posée sur ma queue. Et là, sans discontinuer ses puissants coups de reins, il balance à Romain :

« Maintenant tu vas le sucer, pendant que je te baise ! »

L’idée de me faire sucer par Romain pendant que mon bobrun le défonce, l’idée de cette proximité avec mon Jérém, la perspective de voir l’orgasme fuser sur sa belle petite gueule, ce sont autant de possibilités qui m’enchantent.

Je n’aurais jamais osé y penser. Mais mon Jérém, si.

Romain ne réagit pas, continuant à ahaner de plaisir sous les coups de reins de mon beau brun.

Jérém me fait un signe de la tête pour m’indiquer d’approcher. L’idée de me faire sucer par un si beau gars m’excite au plus haut point, et pourtant j’hésite à rentrer dans ce jeu de mâles. Je n’ai surtout pas envie d’« imposer » un truc dont le mec n’aurait pas envie.

Un deuxième signe de la tête assorti d’un « Allez ! » me fait enfin me décider. Je pose doucement mon gland contre les lèvres du beau barbu. Et un instant plus tard, ma queue disparaît dans sa bouche.

Me voilà face à mon Jérém, sa belle gueule de mec balayée par les frissons provoqués par le plaisir montant. Au gré de ses va-et-vient, sa chaînette s’agite entre ses pecs. Son odeur de mec est à portée de narines, le parfum du déo se mélange à une légère odeur de transpiration, ainsi qu’à une autre « odeur de mâle Jérém », une note qui semble être le pendant olfactif de sa virilité en action et qui me fait tourner la tête.

Secoué par les coups de reins de mon beau brun, Romain n’a pas vraiment l’amplitude pour me sucer. C’est lorsque je sens ses mains se poser sur mes fesses et amorcer des mouvements de va-et-vient que je comprends la marche à suivre. J’entreprends alors de lui limer doucement la bouche, en étant davantage préoccupé de ne pas lui faire mal que de prendre mon plaisir.

Aussi, la proximité de Jérém m’impressionne. Je ne peux pas résister à la tentation de me pencher vers lui et de lécher ses beaux tétons. Il frissonne. Et pour mon grand bonheur, il porte les deux mains sur ma nuque, m’obligeant à y aller franco.

Ma queue dans la bouche du beau Romain, mes lèvres enivrées par la peau chaude et douce de mon bobrun, le nez grisé par le délicieux bouquet olfactif qui se dégage de son torse, je suis au Paradis. Quoi demander de mieux ? A part, peut-être, de me faire sauter par Jérém à la place de Romain…

Et pourtant, il faut admettre que cette configuration a quelque chose de résolument excitant. Fou de plaisir, je quitte le bonheur du contact avec ses tétons, je relève mon cou, je croise son regard. Le plaisir me rend dingue. Je ne réponds plus de mes actes. Sa bouche est si proche. Ses lèvres entrouvertes pour laisser libre passage à ses halètements de mâle en rut me narguent. J’ai envie de l’embrasser, j’ai besoin de l’embrasser.

Alors, je fais fi du danger qui me guette, et je me penche tout doucement pour approcher mes lèvres des siennes. Et là, bonheur absolu, non seulement je ne me fais pas jeter, mais je vois Jérém incliner à son tour le torse vers le mien. Et au final, ce sont ses lèvres qui se posent sur les miennes.

Oui, à cet instant précis, Jérém m’embrasse. Plus que ça, même, il me roule carrément une pelle en bonne et due forme. Et de son propre chef ! Sa langue se glisse entre mes lèvres qui s’ouvrent avec bonheur. Comment pourraient-elles résister ? Elle s’insinue dans ma bouche, puissante, fougueuse, virulente. J’ai l’impression de me faire pénétrer par cette langue, presque aussi puissante et fougueuse que sa queue.

Je découvre la saveur de sa bouche, un mélange d’arrière-goût de cigarette, de bière, un ensemble un peu sucré qui me donne envie de ne jamais quitter ses lèvres.

Chose que je ne pourrais pas faire de toute façon, car mon beau brun a pris le soin de porter à nouveau ses deux mains derrière ma tête pour m’attirer fermement à lui, et pour me retenir dans cette étreinte. Peut-être pour m’empêcher de me dérober, si tant est que l’envie m’en prenait. Précaution inutile, évidemment. Mais il me faut admettre que le contact de ses mains sur ma tête contribue à l’excitation et au bonheur de cet instant.

A cet instant précis, je m’en fous de jouir. A cet instant précis, je n’ai qu’une envie, celle d’être embrassé par mon beau brun, si fougueux, si chaud, si sensuel, si « tout-ce-dont-j-ai-besoin-et-envie ». Oui, à cet instant précis, j’ai juste envie que ce beau Romain disparaisse par enchantement et que je puisse me retrouver seul à rouler des pelles à mon Jérém pour une durée indéterminée.

Lorsque l’étreinte de ses mains derrière ma nuque se défait, lorsque sa langue quitte ma bouche, lorsque ses lèvres quittent les miennes, je suis à bout de souffle. Je suis resté en apnée pendant un bon moment, je suis retourné comme une chaussette. Sacré Jérém, capable de me faire voyager quand je m’y attends le moins. Et dans ce cas le voyage a été aussi inattendu que bouleversant.

Lorsque je retrouve enfin mes esprits, je me rends compte que chez mon beau brun l’orgasme c’est vraiment pour bientôt.

J’ai envie de jouir avec lui. J’ai envie que Romain me fasse jouir. J’ai envie de sentir mon jus quitter ma queue et atterrir dans sa bouche. Incroyable et galvanisante perspective de me sentir pendant un instant, « le mâle » à qui l’autre se soumet en acceptant de recevoir son sperme dans sa bouche. Je sens l’orgasme approcher à grand pas et déformer ma pensée, la polariser vers un seul et unique désir, presque une obsession. Je me surprends à avoir envie que le beau barbu avale.

Ainsi c’est cette sensation que ressent mon Jérém quand il sent qu’il va jouir dans ma bouche et que je vais avaler. La sensation d’être « le mâle ». Cette sensation qui, en parallèle de l’orgasme du corps, en provoque un deuxième, celui de son égo de mec.

L’approche de l’orgasme dégage une énergie puissante. Une énergie face à laquelle il ne faut jamais oublier la nécessité de se protéger.

Non, je ne peux pas jouir dans la bouche d’un inconnu. J’en ai furieusement envie, mais je ne peux pas. De toute façon, j’imagine qu’il ne me laissera pas faire.

Je croise le regard de mon beau brun. Je sais qu’il a compris que je ne vais pas tarder à venir. Et là, délicieuse surprise, ses doigts viennent pincer mes tétons, ce qui a pour effet de précipiter encore l’inéluctable. Jérém qui veut me faire plaisir, qui s’active pour me faire jouir encore plus fort. Je suis fou.

« Je vais jouir ! » je finis par balancer, la voix coupée par l’orgasme qui commence à me submerger. Et je me fais violence pour m’obliger à quitter la bouche du beau barbu avant que ça vienne.

Romain entreprend alors de me branler vigoureusement. Et c’est presque instantanément que j’atteins le point de non-retour.

C’est tellement intense que j’en tremble. C’est tellement c’est bon que j’ai l’impression de devenir fou. Mon corps est traversé par une décharge électrique tellement puissante que je perds le contrôle de mes jambes, de mon équilibre. Je me sens partir vers l’avant. Je me rattrape en portant mes bras sur les épaules de mon Jérém et en appuyant mon front dégoulinant de transpiration dans le creux ferme et parfumé de ses pectoraux.

Je tente de me redresser, mais je n’y arrive pas. Car une de ses mains vient promptement se poser à l’arrière de ma nuque. C’est fou, c’est tout simplement incroyable.

Et je jouis dans la main d’un super bogoss pendant que mon Jérém agace mes tétons avec une adresse surprenante. Je jouis en sentant la chaleur de sa peau dans les paumes de mes mains, les tétons caressés par ses doigts habiles, mon visage plongé dans la proximité moite et délicieusement odorante de ses pecs, sa main appuyée en bas de ma nuque, l’une des régions les plus sensibles de mon corps. Je jouis en mélangeant ma transpiration à la sienne, les battements de mon cœur aux siens, ma respiration à la sienne. Je jouis dans une étreinte que je ne voudrais jamais voir se défaire.

J’ai envie de pleurer tellement c’est bon, beau et inattendu. Tout ce qui compte à cet instant est ma complicité sensuelle avec mon beau brun, cette étreinte, cette main qui m’empêche de partir. Je suis bouleversé par ce geste qui ressemble à un câlin. Un câlin au milieu d’une baise insensée, certes, mais un câlin quand même. Un câlin de la part de Jérém. Ce n’est pas rien, quand même…

Lorsque je retrouve mes esprits, lorsque la main de mon beau brun relâche son appui sur ma nuque, je me relève et je le regarde dans les yeux. Il est beau. Et après ce qu’il vient de faire pour découpler mon bonheur, j’ai encore envie de l’embrasser. De plus en plus envie. Une envie déchirante.

Un instant plus tard, ses mains agrippées à mes épaules, il recommence à envoyer de bons coups de reins dans le cul du beau barbu. Jérém n’a toujours pas joui.

Ce dernier, sentant que l’essai sexuel de mon beau brun va bientôt être transformé, la voix haletante d’excitation, l’encourage :

« Vas-y, mec, fais toi plaisir ! »

Je me prépare à voir passer sur son visage ce bouleversement que je lui connais si bien, notifiant le moment où le plaisir explose dans son bas ventre et fait momentanément évaporer son esprit.

Mais mon beau brun s’arrête soudainement. Je le vois fermer les yeux, inspirer, retenir sa respiration, essayer de maîtriser son beau corps. Je pense qu’il essaie de se retenir de venir. Si ce n’est pas beau ça, si ce n’est pas du grand art, notamment pour un mec de 19 ans !

Et alors que je m’attends à le voir entreprendre la dernière série de coups de reins qui l’amèneront tout droit à l’orgasme, je le vois se dégager du cul de Romain. Ce dernier est secoué par un intense frisson.

Un instant plus tard, le petit bout de caoutchouc quitte sa queue.

Mon Jérém semble fixer avec insistance les fesses qu’il vient de quitter. C’est là que je suis cueilli par un double frisson, d’excitation et d’inquiétude. Mais il ne va quand même pas faire ça, il ne va pas tremper sa queue « à cru » dans cet inconnu, si canon soit-il, et prendre un tel risque juste parce qu’il ne sait pas résister à la tentation de fourrer son jus dans un beau cul !

Mais comment faire pour l’en empêcher s’il a décidé, ou si l’alcool et le joint ont décidé à sa place, qu’il en serait ainsi ?

J’ai le cœur qui bat à mille. Il faut que je trouve le moyen de l’empêcher de faire ça. Oh, Jérém ! Ne sais-tu donc pas que faire ça c’est très très très risqué ! ? ! ? ! ? ! ? ! ?

Je dois l’en dissuader. Je cherche mes mots, je cherche le ton, le courage. Le temps presse, car je sais que lorsqu’il sera bien au chaud dans le cul du beau barbu, ce sera trop tard. J’inspire très fort, et soudain un seul mot s’affiche en lettre capitales dans ma tête : « NON ! »

Un mot qui est prêt à être éjecté de ma cage thoracique pour exploser dans le petit appart. Un mot qui reste coincé au fond de ma gorge, lorsque je le vois soudainement tourner la tête dans ma direction, lorsque je capte à nouveau son regard, un regard empreint d’un érotisme brûlant. Il va le faire. Et je ne vais pas pouvoir l’en empêcher.

« Eh, mec, tu comptes faire quoi, là ? » j’entends alors le beau barbu « venir à mon secours », tout en se retournant et en fixant la queue « nue » de mon Jérém.

Commentaires

fab75du31

05/04/20186 20:47

salut gianluca… j’ai deja fait ça il y a un an, un épisode avec final au choix… très difficile à gerer… mais pourquoi pas… à suivre dans les semaines à venir…

Gianluca76

04/04/2016 20:41

Ce seront les fesses de nico… meme si un surplus de sandwich ne m aurait pas deplu… wait and see… de toute facon… seul Fabien a le pouvoir de choisir…. meme di j ai une suggestion … a quand un episode ou l on pourrait choisir la fin ????

fab75du31

03/04/2016 20:27

Quelle tête à claques ce RomainT… mdr

RomainT

02/04/2016 18:04

Ah le .10… ça sent le sandwich!!!!! Sacré Jerem…. :p

Virginie-aux-accents

01/04/2016 10:58

Le début du 46.10 : sacrée mise en bouche! que nous encore réservé Jérem? et toi Fabien, quel retournement as-tu prévu pour que le beau brun ne soit pas complètement inconscient? Il a su tout contrôler jusque là… à qui sont ces « fesses offertes »?

Depuis 2010, la Queer Palm est un prix alternatif qui, au cours du Festival de Cannes, récompense un film aux thématiques LGBTQIA+.
Deux films sont à retenir dans la sélection 2025.

En 2024, le jury, avait remis son prix au film roumain Trois kilomètres jusqu’à la fin du monde, d’Emanuel Pârvu.

Retrouve dans la galerie médias des coups de cœur pour des photos, des films et séries, des livres et bientôt de la musique.

Un film poignant. Avec un jeune acteur à la beauté bouleversante. Film complet sur Dailymotion en cliquant sur la photo.

Une histoire d’amitié authentique et poignante.

Deux acteurs incandescents.

La découverte de l’amour, du premier amour, le plus fort de tous.

Un autre film qui m’a beaucoup ému

Tu peux aider Fabien à écrire ses histoires !

Deux méthodes possibles :

OU

Merci FanB pour tes corrections et ton aide précieuse.

Merci Yann pour les graphismes du site et ton soutien.

Merci aux mécènes de tout temps, et en particulier à Cyril et Virginie, dont le soutien perdure depuis 2016.

Merci à vous tous pour votre fidélité et vos commentaires.

L’histoire de Jérém&Nico rentre dans sa phase finale.

Jérém&Nico est une belle aventure qui aura duré près de 10 ans et qui n’aurait pas été possible sans vous tous.

Et pour cela, un grand

Fabien

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *